« En hiver, à l’approche du vingt-cinquième anniversaire de mon fils bien-aimé, j’ai failli céder au désespoir. Mon médecin m’a conseillé en urgence une retraite spirituelle que j’ai acceptée. Ce processus m’a aidée à redonner un sens à ma vie en me rappelant les paroles de Saint Irénée de Lyon : “La gloire de Dieu, c’est l’homme vivant ; la vie de l’homme, c’est de contempler Dieu.” »
À PROPOS DE L'AUTRICE
Finistérienne, Florence Burel a toujours été fascinée par les mots, leur pertinence et leur musicalité dans l’écriture d’une belle histoire ou la composition d’un poème vibrant. C’est donc tout naturellement qu’elle s’est orientée vers des études littéraires, afin de devenir professeur de Lettres classiques et de tenter de transmettre à son tour la passion que lui ont prodiguée ses maîtres.
À PROPOS DE L'AUTRICE
Finistérienne, Florence Burel a toujours été fascinée par les mots, leur pertinence et leur musicalité dans l’écriture d’une belle histoire ou la composition d’un poème vibrant. C’est donc tout naturellement qu’elle s’est orientée vers des études littéraires, afin de devenir professeur de Lettres classiques et de tenter de transmettre à son tour la passion que lui ont prodiguée ses maîtres.