Un couple improbable de criminels se lance dans un nouveau coup, qui comporte son lot d'embûches !
Dido n’a aucun scrupule, mais elle a un principe : pour exister, il faut servir à quelque chose, être utile, avoir un talent – même un tout petit – et le mettre au service de tous… Elle, son talent, sa spécialité, c’est de tuer les banquiers ! Et d’habitude, elle fait ça très bien… Mais là, elle a dérapé ! Enée, lui aussi a un principe. Si Dido lui dit : « Faut que tu viennes… », il accourt. Toujours ! Et côté scrupules, lui aussi voyage léger…
Mais parfois dans la vie, en plus des principes et des scrupules, il y a les impondérables, les dommages collatéraux qu’on n’attendait pas… Alors quand Dido décide de se lancer dans cette affaire, il y a fort à parier qu’Énée va se retrouver très vite les mains dans le cambouis… Dido et Énée, un couple improbable et déjanté, des situations scabreuses et ébouriffantes, un style cash et pimenté, un humour très noir et des cadavres à la pelle.
Laissez-vous entraîner par ce roman à l'humour caustique de l'auteur du Prix Blues et Polar 2016 !
EXTRAIT
Énée avait envie de pleurer mais pas assez pour que viennent les larmes. Dido lui faisait souvent cet effet-là. Enfin pas exactement. De penser à Dido lui faisait cet effet-là. Quand elle était devant lui, il n’avait pas du tout envie de pleurer, ni de rire d’ailleurs. Il n’avait plus envie de rien. Il avait tout quand elle était là avec lui. Du moins jusqu’à la dernière fois qu’ils s’étaient vus…
La dernière fois, c’était il y a deux ans… peut-être trois. Il était allé la chercher à sa sortie de prison. Enfin un peu plus loin, à l’arrêt du bus. Le même que quand il allait la voir au parloir. La station «crachoir» comme l’appelaient les habitués.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Un style atypique que celui de Pascal Thiriet. Difficile de dire si ce sont les personnages qui collent à l’écriture ou si c’est l’écriture qui colle aux personnages. Une vraie réussite. Votre prochain polar… Une atmosphère pesante dans un décor « Tarentinoir » - Au pouvoir des mots
Un très bon livre amoral et ca fait du bien, tellement du bien… Impossible de résister à ce petit concentré d’humour noir… - Dominique, Unwalkers
À PROPOS DE L'AUTEUR
Pascal Thiriet est né au début des années 50 d’une mère corse et d’un père pied-noir. Il passe une enfance tranquille en banlieue parisienne. C’est après que ça se gâte… puisqu’en soixante-huitard précoce il abandonne très vite ses études, part en stop aux États-Unis et au Guatemala où il passe quelques jours en prison pour une raison non encore élucidée à ce jour… Dès son retour, et pêle-mêle, il fabrique des milliers de santons, fait des convoyages de bateaux, fonde une communauté proche des situationnistes, travaille dans un garage puis entreprend une carrière de typographe tout en vendant La Cause du Peuple sur les marchés dominicaux… Il a ensuite trois enfants, prépare un Capes de maths et devient prof à Toledo USA. Il lit tout et n’importe quoi, mais sans cesse. Et puis il écrit, beaucoup et tout le temps…
Dido n’a aucun scrupule, mais elle a un principe : pour exister, il faut servir à quelque chose, être utile, avoir un talent – même un tout petit – et le mettre au service de tous… Elle, son talent, sa spécialité, c’est de tuer les banquiers ! Et d’habitude, elle fait ça très bien… Mais là, elle a dérapé ! Enée, lui aussi a un principe. Si Dido lui dit : « Faut que tu viennes… », il accourt. Toujours ! Et côté scrupules, lui aussi voyage léger…
Mais parfois dans la vie, en plus des principes et des scrupules, il y a les impondérables, les dommages collatéraux qu’on n’attendait pas… Alors quand Dido décide de se lancer dans cette affaire, il y a fort à parier qu’Énée va se retrouver très vite les mains dans le cambouis… Dido et Énée, un couple improbable et déjanté, des situations scabreuses et ébouriffantes, un style cash et pimenté, un humour très noir et des cadavres à la pelle.
Laissez-vous entraîner par ce roman à l'humour caustique de l'auteur du Prix Blues et Polar 2016 !
EXTRAIT
Énée avait envie de pleurer mais pas assez pour que viennent les larmes. Dido lui faisait souvent cet effet-là. Enfin pas exactement. De penser à Dido lui faisait cet effet-là. Quand elle était devant lui, il n’avait pas du tout envie de pleurer, ni de rire d’ailleurs. Il n’avait plus envie de rien. Il avait tout quand elle était là avec lui. Du moins jusqu’à la dernière fois qu’ils s’étaient vus…
La dernière fois, c’était il y a deux ans… peut-être trois. Il était allé la chercher à sa sortie de prison. Enfin un peu plus loin, à l’arrêt du bus. Le même que quand il allait la voir au parloir. La station «crachoir» comme l’appelaient les habitués.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Un style atypique que celui de Pascal Thiriet. Difficile de dire si ce sont les personnages qui collent à l’écriture ou si c’est l’écriture qui colle aux personnages. Une vraie réussite. Votre prochain polar… Une atmosphère pesante dans un décor « Tarentinoir » - Au pouvoir des mots
Un très bon livre amoral et ca fait du bien, tellement du bien… Impossible de résister à ce petit concentré d’humour noir… - Dominique, Unwalkers
À PROPOS DE L'AUTEUR
Pascal Thiriet est né au début des années 50 d’une mère corse et d’un père pied-noir. Il passe une enfance tranquille en banlieue parisienne. C’est après que ça se gâte… puisqu’en soixante-huitard précoce il abandonne très vite ses études, part en stop aux États-Unis et au Guatemala où il passe quelques jours en prison pour une raison non encore élucidée à ce jour… Dès son retour, et pêle-mêle, il fabrique des milliers de santons, fait des convoyages de bateaux, fonde une communauté proche des situationnistes, travaille dans un garage puis entreprend une carrière de typographe tout en vendant La Cause du Peuple sur les marchés dominicaux… Il a ensuite trois enfants, prépare un Capes de maths et devient prof à Toledo USA. Il lit tout et n’importe quoi, mais sans cesse. Et puis il écrit, beaucoup et tout le temps…