À l'heure où les lobbies et les médias veulent promouvoir le suicide assisté et l'euthanasie, le signal d'alarme est lancé par un ancien Franc-maçon...
Serge Abad Gallardo, bien connu pour son témoignage sur la franc-maçonnerie, est aussi bénévole en aumônerie d'hôpital depuis six ans. Il s'alarme de la volonté des lobbies et des médias de promouvoir le suicide assisté et l'euthanasie active sous couvert d'humanité.
Son expertise lui permet de constater que, depuis quarante ans, les loges militent pour un « droit à mourir » alors que cela est loin de répondre à une attente populaire : les malades demandent de l'attention plutôt qu'une piqûre létale. Pourquoi cet acharnement à voler leur mort ?
En rassemblant les cas d'Alphie, Anne Bert, frère Vincent, etc., cet ouvrage nous ouvre à l'environnement des soins palliatifs, à l'approche médicale de la souffrance, à la réalité des dérives eugénistes et au pouvoir du médecin traitant. Il nous donne les outils pour ne pas nous laisser illusionner par ce « droit à mourir » alors qu'à nos côtés, des personnes en fin de vie accueillent avec courage l'inconnu de leur mort, attendant de nous un accompagnement aimant.
Serge Abad Gallardo utilise son expertise afin de nous livrer un témoignage qui vise à montrer, d'une part, l'implication de la franc-maçonnerie dans les débats sur l'euthanasie et, d'autre part, quel point les patients ont avant tout besoin d'un accompagnement attentif et bienveillant.
EXTRAIT
Comme nous allons le voir dans cet ouvrage, en France, nous sommes englués dans la bien-pensance maçonnique. Nous l’avons été progressivement, depuis trois siècles. Nous sommes aujourd’hui soumis à sa « dictature molle », qui s’est peu à peu transformée en propagande insidieuse et en police de la pensée...
Il sera montré que le débat actuel sur la question de l’euthanasie ne doit rien à un quelconque hasard, à une prétendue « évolution de la société », à un plébiscite des peuples, mais à une sorte de « coup d’État » progressif et subreptice de la franc-maçonnerie. Et derrière cette démarche maçonnique se dissimule en réalité une idéologie que l’Institution initiatique s’emploie à imposer depuis sa création : un bouleversement complet de notre paradigme social et anthropologique, obtenu selon la formule alchimique du 30e degré des Hauts grades de Chevalier Kadosh : « Solve et coagula », que l’on peut traduire en langage « profane » par l’expression : « Détruis et reconstruis. » La franc-maçonnerie vise à détruire l’équilibre ancien afin de lui substituer un modèle nouveau et progressiste fondé sur son idéologie initiatique.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Serge Abad-Gallardo, ancien haut fonctionnaire territorial, a passé vingt-quatre ans au sein de l'obédience du Droit Humain, jusqu'à en devenir vénérable maître. Après sa conversion, il a écrit J'ai frappé à la porte du Temple et Je servais Lucifer sans le savoir, chez Téqui.
Serge Abad Gallardo, bien connu pour son témoignage sur la franc-maçonnerie, est aussi bénévole en aumônerie d'hôpital depuis six ans. Il s'alarme de la volonté des lobbies et des médias de promouvoir le suicide assisté et l'euthanasie active sous couvert d'humanité.
Son expertise lui permet de constater que, depuis quarante ans, les loges militent pour un « droit à mourir » alors que cela est loin de répondre à une attente populaire : les malades demandent de l'attention plutôt qu'une piqûre létale. Pourquoi cet acharnement à voler leur mort ?
En rassemblant les cas d'Alphie, Anne Bert, frère Vincent, etc., cet ouvrage nous ouvre à l'environnement des soins palliatifs, à l'approche médicale de la souffrance, à la réalité des dérives eugénistes et au pouvoir du médecin traitant. Il nous donne les outils pour ne pas nous laisser illusionner par ce « droit à mourir » alors qu'à nos côtés, des personnes en fin de vie accueillent avec courage l'inconnu de leur mort, attendant de nous un accompagnement aimant.
Serge Abad Gallardo utilise son expertise afin de nous livrer un témoignage qui vise à montrer, d'une part, l'implication de la franc-maçonnerie dans les débats sur l'euthanasie et, d'autre part, quel point les patients ont avant tout besoin d'un accompagnement attentif et bienveillant.
EXTRAIT
Comme nous allons le voir dans cet ouvrage, en France, nous sommes englués dans la bien-pensance maçonnique. Nous l’avons été progressivement, depuis trois siècles. Nous sommes aujourd’hui soumis à sa « dictature molle », qui s’est peu à peu transformée en propagande insidieuse et en police de la pensée...
Il sera montré que le débat actuel sur la question de l’euthanasie ne doit rien à un quelconque hasard, à une prétendue « évolution de la société », à un plébiscite des peuples, mais à une sorte de « coup d’État » progressif et subreptice de la franc-maçonnerie. Et derrière cette démarche maçonnique se dissimule en réalité une idéologie que l’Institution initiatique s’emploie à imposer depuis sa création : un bouleversement complet de notre paradigme social et anthropologique, obtenu selon la formule alchimique du 30e degré des Hauts grades de Chevalier Kadosh : « Solve et coagula », que l’on peut traduire en langage « profane » par l’expression : « Détruis et reconstruis. » La franc-maçonnerie vise à détruire l’équilibre ancien afin de lui substituer un modèle nouveau et progressiste fondé sur son idéologie initiatique.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Serge Abad-Gallardo, ancien haut fonctionnaire territorial, a passé vingt-quatre ans au sein de l'obédience du Droit Humain, jusqu'à en devenir vénérable maître. Après sa conversion, il a écrit J'ai frappé à la porte du Temple et Je servais Lucifer sans le savoir, chez Téqui.