Pasca tenait de sa mère cette prédilection pour le vieil oratoire. Angiolina Neraldi venait aussi, étant jeune fille, travailler et rêver au milieu des roses... Et c’était ici qu’un jour, tandis que sa voix souple chantait une tarentelle, lui était apparu un élégant cavalier blond – un Français égaré dans le bois de Silvi. Il lui avait demandé son chemin, et Angiolina lui avait donné les indications nécessaires, intimidée et charmée à la fois par l’admiration qu’il ne pouvait dissimuler devant la fine beauté de cette enfant de Toscane.