Lorsque nous examinons l'histoire culturelle du monde, que ce soit les uvres de Proust, Confucius, Rembrandt, Blaise Pascal, Picasso, Bach, Vincent Van Gogh, Jimi Hendrix, Victor Hugo, l'art des Kwakiutl du nord-ouest du Pacifique, la photographie moderne, un site Internet multimédia ou un vase chinois de la dynastie Ming, nous sommes confrontés des démonstrations fort variées du phénomène de la créativité. Tous ces artefacts soulignent le fait que les humains sont mis à part des autres espèces du monde animal. Il s'agit d'une caractéristique de l'être humain que d'exercer et exprimer son génie créatif dans les choses qu'il produit. D'autre part, ce que nous produisons reflète, d'une manière ou d'une autre, la vision du monde de l'auteur d'une uvre, cela reste vrai même lorsque ce n'est pas son intention consciente. Nous les humains portons, mêlé à notre nature déchue, l'image de Dieu et notre créativité en est un indice important.
Cet essai examine donc les arts et de la culture, mais en prenant appui sur la vision du monde judéo-chrétien et en jetant un regard critique sur la culture occidentale à l'aube du IIIe millénaire. Le ghetto, dont le titre fait allusion, réfère à une des thèses du livre, c'est-à-dire que diverses forces sociales (internes et externes) au mouvement protestant évangélique ont contribué à marginaliser ce dernier sur le plan culturel. Et à certains égards, comme les juifs au début du XXe siècle, l'évangélique se voit forcé de s'identifier et limité dans sa capacité de se déplacer dans l'espace culturel. Même si dans le passé la vision du monde judéo-chrétienne a fourni d'immenses contributions à la culture occidentale désormais la politiquement correcte a fait cette vision du monde un paria, un exclu.
Cet ouvrage examinera la question : comment intégrer démarches artistiques et prises de position éthiques édifiées sur la fondation des enseignements de Jésus-Christ ? En Occident, un grand nombre d'uvres culturelles masquent leurs présupposés, leur vision du monde. Ce n'est pas le cas ici.
Ce volume comporte notes, index, bibliographie, illustrations et une table des matières paginée.
Cet essai examine donc les arts et de la culture, mais en prenant appui sur la vision du monde judéo-chrétien et en jetant un regard critique sur la culture occidentale à l'aube du IIIe millénaire. Le ghetto, dont le titre fait allusion, réfère à une des thèses du livre, c'est-à-dire que diverses forces sociales (internes et externes) au mouvement protestant évangélique ont contribué à marginaliser ce dernier sur le plan culturel. Et à certains égards, comme les juifs au début du XXe siècle, l'évangélique se voit forcé de s'identifier et limité dans sa capacité de se déplacer dans l'espace culturel. Même si dans le passé la vision du monde judéo-chrétienne a fourni d'immenses contributions à la culture occidentale désormais la politiquement correcte a fait cette vision du monde un paria, un exclu.
Cet ouvrage examinera la question : comment intégrer démarches artistiques et prises de position éthiques édifiées sur la fondation des enseignements de Jésus-Christ ? En Occident, un grand nombre d'uvres culturelles masquent leurs présupposés, leur vision du monde. Ce n'est pas le cas ici.
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