Je me souviens un peu, beaucoup… offre un mélange de souvenirs empreints de nostalgie, d’anecdotes amusantes et parfois tristes, ainsi que de descriptions de la vie actuelle en Roumanie, cinquante ans après le départ de l’auteure. Il ne s’agit pas d’une critique politique ou sociale, mais plutôt d’une observation du passé et du présent, bien que quelques critiques subtiles soient évoquées.
À PROPOS DE L'AUTRICE
En raison de la détérioration de la situation politique et sociale en Roumanie, Ileana Haber quitte le pays avec ses parents en 1972. Installée en France, elle entame des études à l’École Supérieure des Beaux-Arts. Elle exprime son talent artistique à la fois à travers l’écriture et l’illustration de deux livres. Pour elle, la peinture et la littérature sont étroitement liées. Cinquante ans après son départ, elle ressent le besoin de raconter ses aventures vécues lors de vacances passées dans son pays d’origine.
À PROPOS DE L'AUTRICE
En raison de la détérioration de la situation politique et sociale en Roumanie, Ileana Haber quitte le pays avec ses parents en 1972. Installée en France, elle entame des études à l’École Supérieure des Beaux-Arts. Elle exprime son talent artistique à la fois à travers l’écriture et l’illustration de deux livres. Pour elle, la peinture et la littérature sont étroitement liées. Cinquante ans après son départ, elle ressent le besoin de raconter ses aventures vécues lors de vacances passées dans son pays d’origine.