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Une femme est retrouvée morte chez elle. Rapidement, deux couples sont suspectés...
Il est des règles immuables que la Nature a dictées. Parmi celles‑ci, la loi selon laquelle la vie ne peut naître que de l’union d’un homme et d’une femme. Tania, appréciée de tous, est retrouvée sans vie à son domicile. Qui a pu en vouloir à cette personne sans histoires ? Et pourquoi Perrot et Lefèvre s’orientent-ils vers Bruno et Stéphane, ce couple en mal d’enfant ? Ou encore vers Annabelle et Damien, qui attendent un heureux évènement ? Et si c’était là que tout a commencé… Un roman à suspense dont…mehr

Produktbeschreibung
Une femme est retrouvée morte chez elle. Rapidement, deux couples sont suspectés...

Il est des règles immuables que la Nature a dictées. Parmi celles‑ci, la loi selon laquelle la vie ne peut naître que de l’union d’un homme et d’une femme. Tania, appréciée de tous, est retrouvée sans vie à son domicile. Qui a pu en vouloir à cette personne sans histoires ? Et pourquoi Perrot et Lefèvre s’orientent-ils vers Bruno et Stéphane, ce couple en mal d’enfant ? Ou encore vers Annabelle et Damien, qui attendent un heureux évènement ? Et si c’était là que tout a commencé… Un roman à suspense dont l’intrigue témoigne de l’évolution actuelle du couple et de la famille…

Découvrez sans plus attendre une nouvelle enquête de Perrot et Lefèvre, en plein cœur d'un drame autour de la question du couple et de la famille.

EXTRAIT

— La mort remonte à combien de temps ? s’enquiert Jean-Louis Perrot – nouvellement nommé en même temps que son fidèle acolyte Lefèvre à la PJ bordelaise – en se penchant sur le corps gisant sur le carrelage.
— Difficile à dire, répond le médecin appelé pour constater le décès. Le corps est encore souple, mais le fait qu’il soit resté au contact du plancher chauffant retarde forcément le processus de rigidification. Ceci dit, je dirais qu’elle a succombé il n’y a pas plus de quatre, cinq heures…
Ce qui ferait aux alentours de quinze heures, calcule rapidement Perrot en regardant vers l’extérieur où la nuit est déjà tombée. La femme est allongée à l’aplomb de la table de salle à manger, face contre terre, le visage en partie dissimulé par ses cheveux. Sa blondeur ne doit rien à la nature, comme en témoigne la racine brune de ses cheveux. Elle a les yeux à demi ouverts. Sous sa tête, une flaque sombre. Elle porte un pantalon de survêtement noir et un sweat-shirt gris. De ses baskets qui paraissent neuves sort le haut de socquettes rose fluorescent. Sur le tapis traîne une brosse à cheveux qui a pu échapper de la main de la victime lorsque celle-ci est tombée. À moins que la brosse se soit trouvée là par hasard, abandonnée par un enfant. Le commandant jette un regard circulaire. L’hypothèse d’un objet oublié sur le sol ne le convainc pas car la maison semble impeccablement tenue.

CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE

Voila un petit roman à suspense bien agréable à lire. L'enquête et sa résolution ne sont pas aussi simples qu'elles pourraient le paraître et pousse le lecteur à tourner les pages les unes après les autres… jusqu'à la dernière. Les deux enquêteurs sont rigolos et attachants et leur chef, un anglais encore plus. L'écriture est fluide, agréable. Bien qu'il soit question du désir d'enfanter dans les couples me même sexe, on ne tombe pas dans les clichés et l'enquête reste au premier plan. - Clairette , Babelio

Des sujets traités avec justesse et qui donne vraiment envie de découvrir d'autres enquêtes policières des ouvrages des éditions Palémon. - Vinnie1984, Babelio

À PROPOS DE L'AUTEURE

Anne-Solen Kerbrat est née en 1970 à Brest, et a d’abord vécu entre Côtes d’Armor et Finistère sud.
Professeur d’anglais dans le secondaire puis le supérieur, elle est passée par le Val d’Oise, la Charente-Maritime et le Bordelais avant de poser ses valises à Nantes.
Elle se consacre aujourd’hui à l’éducation de ses quatre enfants, à la traduction et… à l’écriture.
Son style féminin, à la fois sensible et incisif, et la qualité de ses intrigues sont régulièrement salués par la critique. Son premier roman a été récompensé par le Prix du Goéland Masqué en 2006.