L’enseignement de l’histoire de la philosophie occidentale se caractérise, entre autres, par son obstination à séparer le fruit de l’arbre. Or, la connaissance propre de celui-là requiert l’indispensable prise en considération de celui-ci. Kant n’échappe pas à la règle et, pour avoir été traditionnellement présenté comme le philosophe par excellence de l’intransigeance, il n’en a pas moins souffert d’une pathologie, psychique et physique, laquelle nous semble de nature à expliquer, pour le moins en partie, son échec à systématiser cette science ou, pour le dire autrement, sa stagnation au niveau du penser d’entendement prédicatif tel qu’illustré par les Lumières.
À PROPOS DE L'AUTEURE
Enseignante en philosophie et culture générale dans l’académie de Lyon, auteure d'une thèse doctorale sur l'hégélianisme, Véronique Scherèdre prend ici la plume pour contribuer au parachèvement du double portrait de Kant, homme et penseur, afin de fluidifier l’abord de son œuvre.
À PROPOS DE L'AUTEURE
Enseignante en philosophie et culture générale dans l’académie de Lyon, auteure d'une thèse doctorale sur l'hégélianisme, Véronique Scherèdre prend ici la plume pour contribuer au parachèvement du double portrait de Kant, homme et penseur, afin de fluidifier l’abord de son œuvre.