"La mémoire bleue" est le souvenir de l’Adam lumineux qui coule dans nos veines. Dans une vie remplie de réminiscences, l’homme noble parle du sang bleu qu’il a en héritage. Parce que son sang garde la mémoire du Ciel, il véhicule la foi en cette lumière spirituelle. Le chevalier du Graal se souvient de l’Adam contemplatif dont le germe est en lui.
Le texte d ’Irène Moreau d’Escrières est un témoignage vivant proposé en toute innocence, car les événements évoqués relèvent d’un ensemble de possibilités inhérentes à l’être humain, de tout un potentiel latent qui s’anime soudainement et rompt le carcan sensorio-mental qui nous étouffe. Se dévoile alors un champ existentiel où les formes vivantes communient avec les autres dans une manière de joie relationnelle d’avant l’enfermement égotiste. Les faits rapportés ici sont autant de gouttes paradisiaques qui enchantent le lecteur parce qu’elles lui rappellent qu’il est davantage que ce qu’il croit être, qu’il peut vivre plus fort et plus profond qu’il ne le fait dans le cadre grisâtre que lui imposent les visées d’une artificieuse modernité.
À PROPOS DE L'AUTRICE
Née en Algérie, Irène Moreau d’Escrières a suivi des études de Lettres et de Philosophie à Aix-en-Provence. La Société des Poètes et Artistes de France (S.P.A.F.) de Marseille lui décerne le Prix Georgette Verneuil, diplôme d’Honneur de Poésie en 1970, pour Lettres à Vincent, poèmes à Dieu. En
1977, professeur de Lettres aux Antilles, elle continue à écrire dans le plus strict anonymat. De retour en France, elle publie en 1982 son premier recueil de poèmes, Abyssales, à La Pensée Universelle (réédité aux Éditions Encre Rouge en 2020). Tahiti, où elle est installée de 1986 à 2002, continue à inspirer sa plume. De retour en France, elle fait publier romans, nouvelles et récits de voyages. Plusieurs prix de Poésie ont couronné dernièrement son œuvre.
Le texte d ’Irène Moreau d’Escrières est un témoignage vivant proposé en toute innocence, car les événements évoqués relèvent d’un ensemble de possibilités inhérentes à l’être humain, de tout un potentiel latent qui s’anime soudainement et rompt le carcan sensorio-mental qui nous étouffe. Se dévoile alors un champ existentiel où les formes vivantes communient avec les autres dans une manière de joie relationnelle d’avant l’enfermement égotiste. Les faits rapportés ici sont autant de gouttes paradisiaques qui enchantent le lecteur parce qu’elles lui rappellent qu’il est davantage que ce qu’il croit être, qu’il peut vivre plus fort et plus profond qu’il ne le fait dans le cadre grisâtre que lui imposent les visées d’une artificieuse modernité.
À PROPOS DE L'AUTRICE
Née en Algérie, Irène Moreau d’Escrières a suivi des études de Lettres et de Philosophie à Aix-en-Provence. La Société des Poètes et Artistes de France (S.P.A.F.) de Marseille lui décerne le Prix Georgette Verneuil, diplôme d’Honneur de Poésie en 1970, pour Lettres à Vincent, poèmes à Dieu. En
1977, professeur de Lettres aux Antilles, elle continue à écrire dans le plus strict anonymat. De retour en France, elle publie en 1982 son premier recueil de poèmes, Abyssales, à La Pensée Universelle (réédité aux Éditions Encre Rouge en 2020). Tahiti, où elle est installée de 1986 à 2002, continue à inspirer sa plume. De retour en France, elle fait publier romans, nouvelles et récits de voyages. Plusieurs prix de Poésie ont couronné dernièrement son œuvre.