Le lieutenant Alban plongé dans l'univers très particulier des chercheurs en sciences humaines : intranet, Internet et... un cadavre.
Le lieutenant Alban et le commissaire divisionnaire Cazaubon se souviendront longtemps de leur première rencontre avec cette toupie de Marie Lafitte. C’était en 1996, au moment où le vénérable Institut des Sciences Mérovéennes de Vannes équipait ses chercheurs d’un réseau de communication par ordinateurs. Intranet, Internet et... un cadavre. Comme par hasard, celui du directeur du Laboratoire d’Informatique. C’est Marie qui l’avait découvert. Pour trouver le coupable, le lieutenant Alban et le divisionnaire
Cazaubon avaient plongé dans l’univers très particulier des chercheurs en sciences humaines. Des gens comme vous et moi, avait dit Alban. Le lecteur jugera lui-même.
Retrouvez le lieutenant Alban, le commissaire Cazaubon et Marie Lafitte dans le second volet de leurs enquêtes haletantes au cœur de la Bretagne ! Qui a assassiné le directeur du Laboratoire d'Informatique ?
EXTRAIT
On sonna encore à la porte.
C’était le commissaire. Il avait l’air tout guilleret.
Après avoir salué Marie, il s’excusa auprès d’elle et me prit à part dans un coin du salon.
—Le juge d’instruction est d’accord, pour la garde à vue de Martin, me dit-il à voix basse. Il pense comme moi que ça va provoquer des réactions intéressantes.
— Quelles réactions ?
— Figure-toi que Chabot, l’un des opérateurs, a demandé à me voir pour me dire que Martin est innocent et que nous ferions bien de chercher chez les maris trompés.
—Ils sont tous mariés, au labo, sauf Thompson de Machin, qui est divorcé !
—Mais qui a des vues sur Lucie Jouanno, laquelle était en butte aux assiduités de Garnier…
Quand nous avons demandé à Marie Lafitte si elle pensait avoir des ennemis au Laboratoire d’Informatique, elle balbutia :
—Il y a bien eu ce message sur mon ordinateur… Ça m’a fait un choc… Je croyais… Mais Jean-Edmond s’est tellement moqué de moi que je n’en ai parlé à personne. Il est physicien. A Rennes, les chercheurs se servent tout le temps de la messagerie électronique
pour se faire des blagues…
À PROPOS DE L'AUTEUR
Après une carrière d'ingénieur de recherche au CNRS à Paris, Chaix d'Est-Ange se consacre aujourd'hui à l'écriture de romans policiers. Le Pays de Vannes est, depuis de nombreuses années, son lieu favori de détente, l'hiver. C'est aussi le cadre choisi pour ce deuxième roman. Elle est décédée en 2011.
Le lieutenant Alban et le commissaire divisionnaire Cazaubon se souviendront longtemps de leur première rencontre avec cette toupie de Marie Lafitte. C’était en 1996, au moment où le vénérable Institut des Sciences Mérovéennes de Vannes équipait ses chercheurs d’un réseau de communication par ordinateurs. Intranet, Internet et... un cadavre. Comme par hasard, celui du directeur du Laboratoire d’Informatique. C’est Marie qui l’avait découvert. Pour trouver le coupable, le lieutenant Alban et le divisionnaire
Cazaubon avaient plongé dans l’univers très particulier des chercheurs en sciences humaines. Des gens comme vous et moi, avait dit Alban. Le lecteur jugera lui-même.
Retrouvez le lieutenant Alban, le commissaire Cazaubon et Marie Lafitte dans le second volet de leurs enquêtes haletantes au cœur de la Bretagne ! Qui a assassiné le directeur du Laboratoire d'Informatique ?
EXTRAIT
On sonna encore à la porte.
C’était le commissaire. Il avait l’air tout guilleret.
Après avoir salué Marie, il s’excusa auprès d’elle et me prit à part dans un coin du salon.
—Le juge d’instruction est d’accord, pour la garde à vue de Martin, me dit-il à voix basse. Il pense comme moi que ça va provoquer des réactions intéressantes.
— Quelles réactions ?
— Figure-toi que Chabot, l’un des opérateurs, a demandé à me voir pour me dire que Martin est innocent et que nous ferions bien de chercher chez les maris trompés.
—Ils sont tous mariés, au labo, sauf Thompson de Machin, qui est divorcé !
—Mais qui a des vues sur Lucie Jouanno, laquelle était en butte aux assiduités de Garnier…
Quand nous avons demandé à Marie Lafitte si elle pensait avoir des ennemis au Laboratoire d’Informatique, elle balbutia :
—Il y a bien eu ce message sur mon ordinateur… Ça m’a fait un choc… Je croyais… Mais Jean-Edmond s’est tellement moqué de moi que je n’en ai parlé à personne. Il est physicien. A Rennes, les chercheurs se servent tout le temps de la messagerie électronique
pour se faire des blagues…
À PROPOS DE L'AUTEUR
Après une carrière d'ingénieur de recherche au CNRS à Paris, Chaix d'Est-Ange se consacre aujourd'hui à l'écriture de romans policiers. Le Pays de Vannes est, depuis de nombreuses années, son lieu favori de détente, l'hiver. C'est aussi le cadre choisi pour ce deuxième roman. Elle est décédée en 2011.