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La Pierre de lune (The Moonstone) est un roman de Wilkie Collins considéré comme le premier roman de détective moderne en langue anglaise. Plusieurs éléments, qui deviendront des classiques du roman policier, sont déjà bien installés : rebondissements nombreux, fausses pistes, multiplicité des suspects possibles, indices insignifiants, et jusqu’au sergent Cuff au physique longiligne, d’une intelligence exceptionnelle… mais qui pourtant se trompera lourdement. Présentation La Pierre de lune est un très gros diamant jaune, incrusté dans une statue hindoue représentant la lune. Il est volé par le…mehr

Produktbeschreibung
La Pierre de lune (The Moonstone) est un roman de Wilkie Collins considéré comme le premier roman de détective moderne en langue anglaise.
Plusieurs éléments, qui deviendront des classiques du roman policier, sont déjà bien installés : rebondissements nombreux, fausses pistes, multiplicité des suspects possibles, indices insignifiants, et jusqu’au sergent Cuff au physique longiligne, d’une intelligence exceptionnelle… mais qui pourtant se trompera lourdement.
Présentation
La Pierre de lune est un très gros diamant jaune, incrusté dans une statue hindoue représentant la lune. Il est volé par le colonel Herncastle durant la prise de Srirangapatna en 1799. À sa mort, Herncastle offre le diamant à sa nièce, Miss Rachel Verinder. Selon son testament, il lui est remis le jour de son anniversaire. Mais à peine en prend-elle possession, que le diamant lui est volé la nuit-même, pendant son sommeil, dans un tiroir de sa chambre…
Wikipédia
Extrait
Une de ces légendes, et la plus bizarre d’entre elles, se rapportait à un diamant jaune, pierre précieuse et célèbre dans les annales de l’Inde.
À en croire les plus anciennes traditions connues, ce diamant aurait été enchâssé dans le front de la divinité indienne aux quatre mains qui est l’emblème de la lune. Le nom de Pierre de Lune, sous lequel il continue à être désigné jusqu’à ce jour dans l’Inde, lui vient de sa nuance singulière et aussi de la croyance superstitieuse en vertu de laquelle, placé sous l’influence de la déesse dont il était l’ornement, il était censé pâlir et reprendre son éclat suivant la croissance et la décroissance de la lune.
J’ai entendu raconter qu’une semblable croyance existait en Grèce et à Rome ; toutefois, elle n’avait pas pour objet, comme dans l’Inde, un diamant consacré à un dieu, mais une pierre d’un ordre inférieur, dont la transparence et les divisions intérieures rappelant celles de la lune, étaient supposées en suivre les variations ; de là serait venu à cette espèce d’onyx son nom de Pierre de Lune, sous lequel elle reste connue des amateurs modernes...