La correspondance du colonel Edmond Ponsignon va de 1859 à 1949. Outre les documents issus des Archives Militaires de Vincennes, sont regroupé ici de longs extraits du journal de marche de son régiment et les très nombreuses lettres adressées, à son fils et à sa belle-sœur.
D’abord du début du XXe siècle à 1914, avec force détails sur la grève des mineurs du Nord en 1902, Puis pendant la guerre de 14/18 où il sera très sérieusement blessé.
Ces correspondances seront enrichies des échanges avec sa belle-sœur – Eugénie Riu – elle-même infirmière major dans les hôpitaux militaires, et avec son fils pratiquant la radioscopie dans un hôpital proche du front.
Ces lettres font le portrait de nombreux blessés passant et souvent mourant dans les services; ce sont des descriptions de première main. Elles sont impressionnantes de bruit, de sang, de souffrance, d’héroïsme, parfois de lâcheté, et souvent de cruauté. Quand elles ne décrivent pas les blessés, elles expriment les difficultés à faire travailler en bonne intelligence et donc avec efficacité un corps d’infirmières hétérogènes: religieuses, bénévoles de la Croix Rouge et jeunes infirmières militarisées et donc rétribuées.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean Ponsignon compte 35 ans dans le conseil en organisation et management – HEC 1962, Il s'est engagé 6 ans dans l'humanitaire (Secrétaire général de la Délégation Catholique pour la Coopération et Président du Collectif des ONG de Volontariat), et simultanément 25 ans de journalisme aéronautique. Producteur d'émissions de radio pour RCF Parabole et chroniqueur sur le site Aéro-Buzz, il est également membre du Jury du prix littéraire de l'Aéro-Club de France.
D’abord du début du XXe siècle à 1914, avec force détails sur la grève des mineurs du Nord en 1902, Puis pendant la guerre de 14/18 où il sera très sérieusement blessé.
Ces correspondances seront enrichies des échanges avec sa belle-sœur – Eugénie Riu – elle-même infirmière major dans les hôpitaux militaires, et avec son fils pratiquant la radioscopie dans un hôpital proche du front.
Ces lettres font le portrait de nombreux blessés passant et souvent mourant dans les services; ce sont des descriptions de première main. Elles sont impressionnantes de bruit, de sang, de souffrance, d’héroïsme, parfois de lâcheté, et souvent de cruauté. Quand elles ne décrivent pas les blessés, elles expriment les difficultés à faire travailler en bonne intelligence et donc avec efficacité un corps d’infirmières hétérogènes: religieuses, bénévoles de la Croix Rouge et jeunes infirmières militarisées et donc rétribuées.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean Ponsignon compte 35 ans dans le conseil en organisation et management – HEC 1962, Il s'est engagé 6 ans dans l'humanitaire (Secrétaire général de la Délégation Catholique pour la Coopération et Président du Collectif des ONG de Volontariat), et simultanément 25 ans de journalisme aéronautique. Producteur d'émissions de radio pour RCF Parabole et chroniqueur sur le site Aéro-Buzz, il est également membre du Jury du prix littéraire de l'Aéro-Club de France.