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L’aveu de Phèdre. Un théâtre de la cruauté? (eBook, PDF) - Benkaddour, Mouna
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Essai de l’année 2016 dans le domaine Didactique - Français - Litérature, Œuvres, Ruhr-Universität Bochum (Romanisches Seminar), cours: Theater der Klassik, langue: Français, résumé: La conception du «tendre Racine», l'auteur classique, de l'amour et des passions fait partie de plusieurs interprétations connues de l’œuvre de Racine. Roland Barthes propose une nouvelle perspective sur le théâtre. Par une étude structuraliste, il renverse l'image «du tendre Racine», non pas en dévalorisant son œuvre, mais en faisant ressortir un monde sombre du héros racinien qui est parfaitement dévoilé par le…mehr

Produktbeschreibung
Essai de l’année 2016 dans le domaine Didactique - Français - Litérature, Œuvres, Ruhr-Universität Bochum (Romanisches Seminar), cours: Theater der Klassik, langue: Français, résumé: La conception du «tendre Racine», l'auteur classique, de l'amour et des passions fait partie de plusieurs interprétations connues de l’œuvre de Racine. Roland Barthes propose une nouvelle perspective sur le théâtre. Par une étude structuraliste, il renverse l'image «du tendre Racine», non pas en dévalorisant son œuvre, mais en faisant ressortir un monde sombre du héros racinien qui est parfaitement dévoilé par le langage. La pièce Phèdre peut servir d'exemple pour examiner de plus près l'idée d'un «théâtre de la cruauté». Dans cette analyse, on mettra l'accent sur l'aveu de Phèdre à Hippolyte (Acte II, scène 5). Die Konzeption eines "tendre Racine", dem klassischen Autor der Liebe und der Leidenschaften, ist Teil vieler Interpretationen des Werkes Racines. Roland Barthes vermittelt einen neuen Blick auf das Werk Racines. Anhand einer strukturalistischen Studie, kehrt er das Bild des "tendre Racine" um, indem er in Racines Theater ein "Theater der Grausamkeit" projeziert, dass gerade wegen der Sprache Racines perfekt verdeckt wird. Das Stück Phédre kann hier als Beispiel dienen, um diese Idee näher zu erläutern. Hier wird der Akzent auf das Liebesgständnis der Phädra an Hippolyte liegen (Acte II, Szene 5).