Une édition de référence du Barbier de Séville de Beaumarchais, spécialement conçue pour la lecture sur les supports numériques.
« Bartholo. En ma place, Bazile, ne feriez-vous pas les derniers efforts pour la posséder ?
Bazile. Ma foi non, Docteur. En toute espèce de biens, posséder est peu de chose ; c'est jouir qui rend heureux : mon avis est qu'épouser une femme dont on n'est point aimé, c'est s'exposer...
Bartholo. Vous craindriez les accidents ?
Bazile. Hé ! Hé ! Monsieur... on en voit beaucoup, cette année. Je ne ferais point violence à son cœur.
Bartholo. Votre valet, Bazile. Il vaut mieux qu'elle pleure de m'avoir, que moi je meure de ne l'avoir pas. » (Extrait de l’acte IV, scène 1.)
« Bartholo. En ma place, Bazile, ne feriez-vous pas les derniers efforts pour la posséder ?
Bazile. Ma foi non, Docteur. En toute espèce de biens, posséder est peu de chose ; c'est jouir qui rend heureux : mon avis est qu'épouser une femme dont on n'est point aimé, c'est s'exposer...
Bartholo. Vous craindriez les accidents ?
Bazile. Hé ! Hé ! Monsieur... on en voit beaucoup, cette année. Je ne ferais point violence à son cœur.
Bartholo. Votre valet, Bazile. Il vaut mieux qu'elle pleure de m'avoir, que moi je meure de ne l'avoir pas. » (Extrait de l’acte IV, scène 1.)