Yvain, le Chevalier au lion est un roman de chevalerie de Chrétien de Troyes. « Le Chevalier au lion » est l'autre nom de messire Yvain dans les romans courtois, ayant trait aux chevaliers de la Table Ronde.
Écrite vers 1176 en octosyllabes, l'œuvre de Chrétien de Troyes puise son inspiration dans la matière de Bretagne, et probablement à la même source que le conte gallois Owein (ou Le Conte de la Dame à la fontaine), qui ne lui serait pas antérieur, mais aurait été davantage composé d'après une source commune dont il ne reste aucune trace. Cette œuvre nous est connue grâce à neuf manuscrits différents. Le roman a en outre inspiré l'auteur Hartmann von Aue qui l'a adapté en allemand sous le titre d'Iwein.
Selon Jean-Pierre Foucher, « l'auteur appréciait Yvain comme son meilleur roman courtois ».
L'ouvrage contient la première attestation du terme « mélancolie » en français.
Écrite vers 1176 en octosyllabes, l'œuvre de Chrétien de Troyes puise son inspiration dans la matière de Bretagne, et probablement à la même source que le conte gallois Owein (ou Le Conte de la Dame à la fontaine), qui ne lui serait pas antérieur, mais aurait été davantage composé d'après une source commune dont il ne reste aucune trace. Cette œuvre nous est connue grâce à neuf manuscrits différents. Le roman a en outre inspiré l'auteur Hartmann von Aue qui l'a adapté en allemand sous le titre d'Iwein.
Selon Jean-Pierre Foucher, « l'auteur appréciait Yvain comme son meilleur roman courtois ».
L'ouvrage contient la première attestation du terme « mélancolie » en français.