À quelques centaines de pas du bourg de Mirepoix, de l’autre côté du Llers, torrent qui traverse dans presque toute sa longueur la riche vallée qui s’étend de ce bourg jusqu’à la ville de Pamiers, s’élève une colline qui domine non seulement le cours de cette petite rivière, mais encore le chemin qui la borde et qui va vers Castelnaudary. Aux deux tiers à peu près de cette colline commençait un château, dont les ruines existent encore.
Adossé au flanc de la montagne, il montait avec elle, atteignait son sommet, et le dépassait par quatre grandes tours que l’on apercevait à plusieurs lieues de distance.
Cette manière de poser les redoutables forteresses où s’enfermaient les puissants châtelains de cette époque, faisait intérieurement de ces vastes constructions quelque chose d’assez bizarre pour que nous croyions devoir l’expliquer à nos lecteurs.
Adossé au flanc de la montagne, il montait avec elle, atteignait son sommet, et le dépassait par quatre grandes tours que l’on apercevait à plusieurs lieues de distance.
Cette manière de poser les redoutables forteresses où s’enfermaient les puissants châtelains de cette époque, faisait intérieurement de ces vastes constructions quelque chose d’assez bizarre pour que nous croyions devoir l’expliquer à nos lecteurs.