Des articles instructifs et passionnés sur la Polynésie française, réunis en un seul ouvrage.
Boris-Alexandre Spasov se définit comme un humaniste, ce que ses articles tendent à prouver. Son paradigme, il nous le fait vivre et découvrir dans les écrits qu’il consacre à la Polynésie française, mais aussi aux pays qui entourent ce bout de France. D’Est en Ouest, du Chili ou des États-Unis à la Chine, en passant par les micros-États tels les Îles Mariannes ou Guam, l’auteur vient rappeler leur histoire, mais aussi apporter un éclairage sur leur économie, leurs populations... et ainsi contribuer à ce que les lecteurs polynésiens appréhendent un peu mieux leur environnement.
L'auteur, en humaniste convaincu, nous éclaire sur la situation tant économique que géopolitique d'une région du monde qu'il affectionne tant.
EXTRAIT
Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes
«Là où il y a une volonté il y a un chemin»,
Churchill
La Polynésie française, constituée de cinq archipels, est devenue une collectivité autonome de la République française. Les dernières revendications, notamment celles de l’archipel des Marquises, font réagir certains politiques qui proposent « Les États fédérés de la Polynésie ».
Au début était le droit des peuples. Ce droit est un peu passé à la trappe, au profit des droits de l’homme au sens traditionnel du terme. Les droits des peuples
doivent passer avant les droits de l’homme, sinon les droits de l’homme ne peuvent pas se développer. Malgré cela, ce sont les droits de l’homme qui ont d’abord été consignés dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Diplômé du Centre d’études diplomatiques et stratégiques de Paris, Boris Alexandre Spasov a été directeur délégué de Radio Caraïbes Internationale. Homme de terrain passionné, il se situe loin des idéologies de salon et des attitudes de convenance. Il n’hésite pas à prendre position, toujours en faveur de ceux qu’il estime victimes d’un système, quitte à s’attirer certaines antipathies. Aider à faire entendre la voix des pêcheurs marquisiens contre un projet de pêche industrielle ou celle d’une partie de la population de Makatea contre l’extraction de phosphate est pour lui un acte militant, en symbiose avec ses convictions.
Boris-Alexandre Spasov se définit comme un humaniste, ce que ses articles tendent à prouver. Son paradigme, il nous le fait vivre et découvrir dans les écrits qu’il consacre à la Polynésie française, mais aussi aux pays qui entourent ce bout de France. D’Est en Ouest, du Chili ou des États-Unis à la Chine, en passant par les micros-États tels les Îles Mariannes ou Guam, l’auteur vient rappeler leur histoire, mais aussi apporter un éclairage sur leur économie, leurs populations... et ainsi contribuer à ce que les lecteurs polynésiens appréhendent un peu mieux leur environnement.
L'auteur, en humaniste convaincu, nous éclaire sur la situation tant économique que géopolitique d'une région du monde qu'il affectionne tant.
EXTRAIT
Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes
«Là où il y a une volonté il y a un chemin»,
Churchill
La Polynésie française, constituée de cinq archipels, est devenue une collectivité autonome de la République française. Les dernières revendications, notamment celles de l’archipel des Marquises, font réagir certains politiques qui proposent « Les États fédérés de la Polynésie ».
Au début était le droit des peuples. Ce droit est un peu passé à la trappe, au profit des droits de l’homme au sens traditionnel du terme. Les droits des peuples
doivent passer avant les droits de l’homme, sinon les droits de l’homme ne peuvent pas se développer. Malgré cela, ce sont les droits de l’homme qui ont d’abord été consignés dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Diplômé du Centre d’études diplomatiques et stratégiques de Paris, Boris Alexandre Spasov a été directeur délégué de Radio Caraïbes Internationale. Homme de terrain passionné, il se situe loin des idéologies de salon et des attitudes de convenance. Il n’hésite pas à prendre position, toujours en faveur de ceux qu’il estime victimes d’un système, quitte à s’attirer certaines antipathies. Aider à faire entendre la voix des pêcheurs marquisiens contre un projet de pêche industrielle ou celle d’une partie de la population de Makatea contre l’extraction de phosphate est pour lui un acte militant, en symbiose avec ses convictions.