« Femme assise dans l'espace brisé en quête de réciprocité. » Le Néant à vider est une œuvre de jeunesse des années 70, s'inspirant du processus surréaliste de l'écriture automatique. Ici la poésie est un parcours vers la connaissance de soi. Un paysage intime se profile révélant le jardin sauvage des émotions où tout l'univers semble participer à ce chant du mal de vivre des vingt ans, rebelle et irrévérent, à la recherche de soi-même. « J'ai rêvé mais le rêve s'est évanoui. J'ai mangé du ciel et le ciel m'a dévorée comme lorsque le jour efface les étoiles de la nuit. » Au Jardin de la Terre est le reflet d'un style de vie en harmonie avec les saisons au contact avec la Terre mère, en connexion avec le divin et avec l'univers. Ses vers libres sont le fruit de longues méditations en un lieu solitaire, situé au cœur de la Plaine du Po, en Italie où l'auteur s'est établie.