Transylvanie, Octobre 1689
Perché sur un rocher entre deux montagnes des Carpates, le Manoir dissimule aux Hommes une abomination. Ni tout à fait morts, ni tout à fait vivants, les créatures qui hantent la région – pourtant sur le déclin – se disputent la souveraineté de ces terres. Après plusieurs années de séparation, Génesys, fraîchement sortie de son couvent, est de retour chez elle dans les Montagnes. Une atmosphère viciée de complots et de meurtre accompagne son retour. A l’aube de conflits qui la dépassent, et dernier avorton de la portée, mais non sans ambition, elle doit faire des choix. L’amitié et l’amour ne semblent plus avoir de place au Manoir où seule une règle prévaut sur toutes les autres : s’élever ou ramper.
Un Manoir perdu dans les Carpates. Deux héroïnes dans un huis clos, l’une vampire, l’autre simple humaine domestiquée. Un seul trône. Le Règne du sang est né suite à un voyage inspirant en Roumanie et raconte le parcours de deux amies proches, vouées pourtant à devenir ennemies, et de leurs luttes pour l’obtention du pouvoir dans un contexte de guerre où l’amour et l’amitié ne semblent plus avoir leur place. Le Règne du sang c’est aussi le roman de la haine et de la rancœur. Sous le prisme du vampirisme, il aborde les effets pervers des relations humaines.
À PROPOS DE L'AUTEURE
Écrire est un besoin depuis l’enfance. Selon Marie-Léa Pacchieri, le roman permet d’explorer la complexité des relations humaines à travers le voile de la fiction. Tout livre contient une espèce de vérité qu’il est inspirant de percer à jour. C’est pourquoi, dès qu'elle est en âge de lire et d’écrire, elle se met à noircir des pages et des pages, libérant son imagination au gré de ses propres lectures et des aventures qu'elle aurait voulu vivre. En grandissant, ses histoires prennent une coloration fantastique et, en parallèle, elle suit un cursus littéraire. Elle s’intéresse davantage à la Littérature classique et se passionne pour le roman gothique anglais et le XIXe siècle.
Perché sur un rocher entre deux montagnes des Carpates, le Manoir dissimule aux Hommes une abomination. Ni tout à fait morts, ni tout à fait vivants, les créatures qui hantent la région – pourtant sur le déclin – se disputent la souveraineté de ces terres. Après plusieurs années de séparation, Génesys, fraîchement sortie de son couvent, est de retour chez elle dans les Montagnes. Une atmosphère viciée de complots et de meurtre accompagne son retour. A l’aube de conflits qui la dépassent, et dernier avorton de la portée, mais non sans ambition, elle doit faire des choix. L’amitié et l’amour ne semblent plus avoir de place au Manoir où seule une règle prévaut sur toutes les autres : s’élever ou ramper.
Un Manoir perdu dans les Carpates. Deux héroïnes dans un huis clos, l’une vampire, l’autre simple humaine domestiquée. Un seul trône. Le Règne du sang est né suite à un voyage inspirant en Roumanie et raconte le parcours de deux amies proches, vouées pourtant à devenir ennemies, et de leurs luttes pour l’obtention du pouvoir dans un contexte de guerre où l’amour et l’amitié ne semblent plus avoir leur place. Le Règne du sang c’est aussi le roman de la haine et de la rancœur. Sous le prisme du vampirisme, il aborde les effets pervers des relations humaines.
À PROPOS DE L'AUTEURE
Écrire est un besoin depuis l’enfance. Selon Marie-Léa Pacchieri, le roman permet d’explorer la complexité des relations humaines à travers le voile de la fiction. Tout livre contient une espèce de vérité qu’il est inspirant de percer à jour. C’est pourquoi, dès qu'elle est en âge de lire et d’écrire, elle se met à noircir des pages et des pages, libérant son imagination au gré de ses propres lectures et des aventures qu'elle aurait voulu vivre. En grandissant, ses histoires prennent une coloration fantastique et, en parallèle, elle suit un cursus littéraire. Elle s’intéresse davantage à la Littérature classique et se passionne pour le roman gothique anglais et le XIXe siècle.