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Un roman vif et caustique qui dépeint la Wallonie des années 60 !
Ils avaient cru changer le monde, ces « jeunes gens » des années soixante... Pour Franklin, Hélène, Alice et les autres, ces Années plastique ont les formes d’un monde neuf où les séductions de la société de consommation le disputent aux élans de l’engagement tiers-mondiste, féministe ou structuraliste. Portrait à la fois drôle et tendre de la jeune génération d’une époque où tout semblait permis, Les Années plastique est un roman vif et caustique sur l’éternelle comédie de vivre. En Wallonie, par exemple. Et pourquoi pas à…mehr

Produktbeschreibung
Un roman vif et caustique qui dépeint la Wallonie des années 60 !

Ils avaient cru changer le monde, ces « jeunes gens » des années soixante... Pour Franklin, Hélène, Alice et les autres, ces Années plastique ont les formes d’un monde neuf où les séductions de la société de consommation le disputent aux élans de l’engagement tiers-mondiste, féministe ou structuraliste. Portrait à la fois drôle et tendre de la jeune génération d’une époque où tout semblait permis, Les Années plastique est un roman vif et caustique sur l’éternelle comédie de vivre. En Wallonie, par exemple. Et pourquoi pas à Liège ?

Féminisme, société de consommation, engagements citoyens : l'auteur nous fait revivre les années 1960 sous un angle inédit.

A PROPOS DE L'AUTEUR

Né en 1946 à Liège, André-Joseph Dubois illustre sa Wallonie natale dans ses romans, en particulier les années 1980. Il fut récompensé à deux reprises par le Prix Félix Denayer de l'Académie royale de langue et de littérature française de Belgique.

EXTRAIT

La Venne, c'est un hameau d'à peine dix toits, à 388 kilomètres de Paris, 142 de Bruxelles, 50 de Liège, une quinzaine de Spa (la ville d'eaux, jadis rendez-vous de tous les joueurs d'Europe) et 3 de La Gleize, le village dont il dépend. Des prairies en pente douce le séparent de l'Amblève. l'Amblève est une rivière tortueuse entre des collines arrondies couvertes d'épicéas. À flanc de coteau et en surplomb des maisons passe une ligne de chemin de fer. On ne la voit pas, à cause de la végétation. Plusieurs centaines de mètres plus bas, elle enjambe l'Amblève, portée par un haut pont de pierres et de briques. La Venne est donc pris entre les deux lames d'une cisaille : la rivière et les rails. Quand un train passe, le pont résonne comme une cathédrale.