En vacances loin de Paris, Jules Quatrenoix se lance dans une enquête palpitante en compagnie de son chien et de ses deux amis Aristide et Lothaire.
Été 1912. Jules Quatrenoix, douze ans, quitte Paris et emménage avec sa mère, Ernestine, à Hurlus-le-Mort-Homme. Elle a été engagée comme gouvernante chez les De Chaussecourte, après la disparition de son mari. Ils doivent commencer une nouvelle vie dans cette petite ville reculée, au grand dam de Jules.
Les vacances s’annoncent bien moroses..., quand, une nuit, Jules entend des voix venant d’une pièce condamnée de la maison appeler son nom ! Troublé mais intrigué, il commence alors à mener son enquête, secondé par son chien, Lebrac, et aidé de ses deux nouveaux amis, Aristide et Lothaire. C’est ainsi, qu’au péril de leurs vies, ils vont découvrir le véritable et terrifiant visage d’Hurlus-le-Mort-Homme !
Au travers d'une formidable enquête, suivez les aventures de Jules Quatrenoix dans le premier tome d'une série policière à l'intrigue haletante !
EXTRAIT
Lundi 22 juillet 1912. Ernestine vint réveiller son fils qui dormait encore profondément. Elle le regarda quelques instants puis déposa un baiser sur son front en lui caressant les cheveux.
–Mon chéri, il est l’heure de se lever. Tout le monde nous attend pour prendre le petit déjeuner.
Jules ouvrit les yeux et vit le doux visage de sa mère penché au-dessus de lui. Toutes les peurs de cette nuit s’estompèrent. Il lui sourit à son tour.
–Je me prépare et je vous rejoins dans un quart d’heure.
Ernestine tira les rideaux et ouvrit la fenêtre. Une légère brise soufflait, il faisait un temps magnifique, les oiseaux gazouillaient. De sa chambre, Jules avait une superbe vue sur le parc. Il fit rapidement un brin de toilette, s’habilla et descendit à la hâte au rez-de-chaussée. Il croisa la cuisinière qu’il salua et se dépêcha d’aller à la salle à manger où tout le monde prenait le petit déjeuner.
Il s’arrêta à l’entrée et salua toute la famille. Tous étaient d’humeur joviale et les enfants étaient très excités. Le départ pour les vacances était cet après-midi !
–As-tu bien dormi, mon garçon ? Tu as une petite mine ce matin ! L’air de la campagne ne te réussit pas ? Pourtant, il doit être meilleur que celui de Paris ! Le taquina M. De Chaussecourte en baissant son journal.
Été 1912. Jules Quatrenoix, douze ans, quitte Paris et emménage avec sa mère, Ernestine, à Hurlus-le-Mort-Homme. Elle a été engagée comme gouvernante chez les De Chaussecourte, après la disparition de son mari. Ils doivent commencer une nouvelle vie dans cette petite ville reculée, au grand dam de Jules.
Les vacances s’annoncent bien moroses..., quand, une nuit, Jules entend des voix venant d’une pièce condamnée de la maison appeler son nom ! Troublé mais intrigué, il commence alors à mener son enquête, secondé par son chien, Lebrac, et aidé de ses deux nouveaux amis, Aristide et Lothaire. C’est ainsi, qu’au péril de leurs vies, ils vont découvrir le véritable et terrifiant visage d’Hurlus-le-Mort-Homme !
Au travers d'une formidable enquête, suivez les aventures de Jules Quatrenoix dans le premier tome d'une série policière à l'intrigue haletante !
EXTRAIT
Lundi 22 juillet 1912. Ernestine vint réveiller son fils qui dormait encore profondément. Elle le regarda quelques instants puis déposa un baiser sur son front en lui caressant les cheveux.
–Mon chéri, il est l’heure de se lever. Tout le monde nous attend pour prendre le petit déjeuner.
Jules ouvrit les yeux et vit le doux visage de sa mère penché au-dessus de lui. Toutes les peurs de cette nuit s’estompèrent. Il lui sourit à son tour.
–Je me prépare et je vous rejoins dans un quart d’heure.
Ernestine tira les rideaux et ouvrit la fenêtre. Une légère brise soufflait, il faisait un temps magnifique, les oiseaux gazouillaient. De sa chambre, Jules avait une superbe vue sur le parc. Il fit rapidement un brin de toilette, s’habilla et descendit à la hâte au rez-de-chaussée. Il croisa la cuisinière qu’il salua et se dépêcha d’aller à la salle à manger où tout le monde prenait le petit déjeuner.
Il s’arrêta à l’entrée et salua toute la famille. Tous étaient d’humeur joviale et les enfants étaient très excités. Le départ pour les vacances était cet après-midi !
–As-tu bien dormi, mon garçon ? Tu as une petite mine ce matin ! L’air de la campagne ne te réussit pas ? Pourtant, il doit être meilleur que celui de Paris ! Le taquina M. De Chaussecourte en baissant son journal.