Une dame qui s’invite à tous les enterrements de la ville, un mendiant qui finit ruiné, une vieille fille deux fois veuve, des enfants décidés à envahir et à démanteler l’Empire austro-hongrois… Les rues tortueuses de Malá Strana, un des quartiers historiques de Prague, servent de décor à ces récits, les onze « petits contes » qui forment le cœur des Contes de Malá Strana, publiés par Jan Neruda dans les années 1870.
Entre chroniques de quartier et souvenirs d’enfance, croquis saisis sur le vif tour à tour grinçants et pleins d’humour noir, affectueux et lyriques, ces Contes mettent en scène le petit peuple Malá Strana et ses figures pittoresques dont certaines reviennent d’un récit à l’autre telle une comédie humaine pragoise.
Jan Neruda peut être féroce avec ses personnages, mais derrière le mordant du trait affleurent la nostalgie et tout l’amour que porte l’auteur au quartier qui l’a vu naître et grandir.
Un des chefs-d’œuvre de la littérature tchèque.
Entre chroniques de quartier et souvenirs d’enfance, croquis saisis sur le vif tour à tour grinçants et pleins d’humour noir, affectueux et lyriques, ces Contes mettent en scène le petit peuple Malá Strana et ses figures pittoresques dont certaines reviennent d’un récit à l’autre telle une comédie humaine pragoise.
Jan Neruda peut être féroce avec ses personnages, mais derrière le mordant du trait affleurent la nostalgie et tout l’amour que porte l’auteur au quartier qui l’a vu naître et grandir.
Un des chefs-d’œuvre de la littérature tchèque.