En plein cœur des années 20, le détective Simon, Italo-Stéphanois et Parisien par obligation, exerce son métier avec cynisme et acharnement...
Septembre 1925. Ils profitaient de quelques jours de soleil mérités et de bonnes bouteilles de vin, lorsque Simon et le commissaire furent appelés en urgence au chevet de la Gandolle, suicidaire depuis que toute l’équipe avait été mise à pied.
À Paris, le jeune adjoint force la main du divisionnaire pour que Simon enquête néanmoins sur la découverte de fresques peintes à l’insu des commerçants du quartier italien de Picpus, dans les caves de leurs magasins.
Toutes sont exécutées de main de maître et affichent le paysage que ces hommes assassinés ont vu pour la dernière fois. Le premier corps est celui du fils de Gabriele Di Marzo, un puissant parrain de la pègre italienne de Paris, et cette rencontre fait remonter à la surface des souvenirs difficiles pour Simon.
Pendant que les fils des parrains tombent sous le pinceau aiguisé d’un meurtrier maîtrisant les techniques de la fresque de façon rare, Simon évolue dans le milieu italien en se fondant dans le décor et renoue avec ses racines malgré lui. Il ne forcera pas les habitants de la communauté à enfreindre les lois de l’Omerta, connaissant trop les risques et il guidera le commissaire à travers cette enquête dangereuse.
Giuseppe, un petit ramasseur de mégots florentin immigré, l’emmènera dans la zone des fortifications et Simon, qui retrouvera ces airs d’antan qui ont bercé son enfance aura du mal à confondre un meurtrier qui, tout comme lui, est attaché à ses croyances et à ses coutumes autant qu’à son honneur. Simon se piquera aux épines des figues de barbaries de ces « Familles » qui règnent sur les quartiers parisiens qu’ils se sont partagés.
Il se retrouvera au milieu d’une vendetta dont il pourrait bien être la cible. Il renouera avec certaines traditions, qu’elles soient hors-la-loi ou pas, rencontrera un marchand de couleurs pour qui le monde est bien trop terne, un curé qui protège ses ouailles sans faire de distinction ou presque, un amiral de la Marine à la retraite qui mène encore ses troupes de main de fer et n’oubliera certainement pas de danser la Tarentelle avec Violette…
Une enquête trépidante dans l'Angleterre des années 20 !
À PROPOS DE L'AUTEURE
Après vingt ans de carrière dans la musique, Annabel écrit des romans policiers dont les intrigues se situent dans le milieu de la nuit qu'elle connaît bien. Stéphanoise de naissance et, tout comme son détective, Parisienne par obligation, Annabel propose des polars se déroulant au creux des Années folles et nous dévoile les us et coutumes des habitants du monde artistique mais aussi des gens de la rue, du milieu ouvrier, de celui de l'aristocratie. Les Bâtards de Picpus est le sixième opus des Enquêtes de Simon.
Septembre 1925. Ils profitaient de quelques jours de soleil mérités et de bonnes bouteilles de vin, lorsque Simon et le commissaire furent appelés en urgence au chevet de la Gandolle, suicidaire depuis que toute l’équipe avait été mise à pied.
À Paris, le jeune adjoint force la main du divisionnaire pour que Simon enquête néanmoins sur la découverte de fresques peintes à l’insu des commerçants du quartier italien de Picpus, dans les caves de leurs magasins.
Toutes sont exécutées de main de maître et affichent le paysage que ces hommes assassinés ont vu pour la dernière fois. Le premier corps est celui du fils de Gabriele Di Marzo, un puissant parrain de la pègre italienne de Paris, et cette rencontre fait remonter à la surface des souvenirs difficiles pour Simon.
Pendant que les fils des parrains tombent sous le pinceau aiguisé d’un meurtrier maîtrisant les techniques de la fresque de façon rare, Simon évolue dans le milieu italien en se fondant dans le décor et renoue avec ses racines malgré lui. Il ne forcera pas les habitants de la communauté à enfreindre les lois de l’Omerta, connaissant trop les risques et il guidera le commissaire à travers cette enquête dangereuse.
Giuseppe, un petit ramasseur de mégots florentin immigré, l’emmènera dans la zone des fortifications et Simon, qui retrouvera ces airs d’antan qui ont bercé son enfance aura du mal à confondre un meurtrier qui, tout comme lui, est attaché à ses croyances et à ses coutumes autant qu’à son honneur. Simon se piquera aux épines des figues de barbaries de ces « Familles » qui règnent sur les quartiers parisiens qu’ils se sont partagés.
Il se retrouvera au milieu d’une vendetta dont il pourrait bien être la cible. Il renouera avec certaines traditions, qu’elles soient hors-la-loi ou pas, rencontrera un marchand de couleurs pour qui le monde est bien trop terne, un curé qui protège ses ouailles sans faire de distinction ou presque, un amiral de la Marine à la retraite qui mène encore ses troupes de main de fer et n’oubliera certainement pas de danser la Tarentelle avec Violette…
Une enquête trépidante dans l'Angleterre des années 20 !
À PROPOS DE L'AUTEURE
Après vingt ans de carrière dans la musique, Annabel écrit des romans policiers dont les intrigues se situent dans le milieu de la nuit qu'elle connaît bien. Stéphanoise de naissance et, tout comme son détective, Parisienne par obligation, Annabel propose des polars se déroulant au creux des Années folles et nous dévoile les us et coutumes des habitants du monde artistique mais aussi des gens de la rue, du milieu ouvrier, de celui de l'aristocratie. Les Bâtards de Picpus est le sixième opus des Enquêtes de Simon.