À travers l'histoire de quatre hommes, Maria Borrély dépeint l'errance qui les a conduits vers les grandes villes dans les années 30.
Quatre hommes, quatre chômeurs, errent en quête de travail et de quoi se nourrir. Ils ne rentreront plus chez eux. Leur misère qui défigure bien plus que l’âge rencontre parfois la compassion et plus souvent le rejet. « Vous êtes de ceux qui cherchent le travail, mais avec un fusil, pour le tuer », leur dit une femme. Cette errance qui les jette d’un village à une ferme, d’un chantier à un fossé où ils dorment, les conduit jusqu’à la grande ville où la richesse s’étale mais ne sera pas pour eux. Situé en 1932, le roman Les mains vides reste d’une brûlante actualité.
La justesse de ce roman ne pourra que vous toucher et vous ouvrira les yeux sur une problématique qui est encore bien présente dans la société d'aujourd’hui.
À PROPOS DE L'AUTEURE
Écrivaine de la nature, Maria Borrély l’est tout aussi finement de la nature humaine. Les descriptions des paysages et du temps rehaussent la souffrance des hommes et leurs dialogues. La puissance d’écriture qu’avait remarquée André Gide sert, dans ce roman poignant, le profond humanisme révolté de Maria Borrély.
Quatre hommes, quatre chômeurs, errent en quête de travail et de quoi se nourrir. Ils ne rentreront plus chez eux. Leur misère qui défigure bien plus que l’âge rencontre parfois la compassion et plus souvent le rejet. « Vous êtes de ceux qui cherchent le travail, mais avec un fusil, pour le tuer », leur dit une femme. Cette errance qui les jette d’un village à une ferme, d’un chantier à un fossé où ils dorment, les conduit jusqu’à la grande ville où la richesse s’étale mais ne sera pas pour eux. Situé en 1932, le roman Les mains vides reste d’une brûlante actualité.
La justesse de ce roman ne pourra que vous toucher et vous ouvrira les yeux sur une problématique qui est encore bien présente dans la société d'aujourd’hui.
À PROPOS DE L'AUTEURE
Écrivaine de la nature, Maria Borrély l’est tout aussi finement de la nature humaine. Les descriptions des paysages et du temps rehaussent la souffrance des hommes et leurs dialogues. La puissance d’écriture qu’avait remarquée André Gide sert, dans ce roman poignant, le profond humanisme révolté de Maria Borrély.