Les mondes du sacré est la somme d’une vie de voyages, d’enseignement, de recherches et de rencontres aux quatre coins du monde.
Ce livre est la rencontre des terrains religieux et politique, qui aux yeux de l’auteur, ne peuvent s’expliquer l’un sans l’autre. C’est aussi un exposé clair de l’enchevêtrement et des mues des religions les unes par rapport aux autres, tant en Orient qu’en Occident. Si le fil rouge est connu et évident à l’Ouest, il était jusque-là inédit à l’Est.
Il présente aussi l’avantage, considérable pour le lecteur, d’avoir été écrit par une seule personne. Une telle démarche fondée sur les analyses de chercheurs réputés apporte une excellente cohésion didactique à la comparaison de l’ensemble des courants de pensée.
Enfin, il vise à montrer que le spirituel et le sacré ne sont pas l’apanage des seules religions.
Un ouvrage qui questionnent les religions, la laïcité et l'ésotérisme de leurs origines à nos jours.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jacques Rifflet a successivement été avocat, journaliste, éditorialiste et grand reporter à la Radiotélévision belge et enfin professeur et conférencier réputé. L’auteur continue d’être très actif notamment comme président de commissions gouvernementales ou européennes et consultant auprès des médias audiovisuels en plus de multiples cours et conférences de haut niveau.
EXTRAIT
LES RELIGIONS DE L’OCCIDENT OU RELIGIONS ABRAHAMIQUES1. LE JUDAÏSME.
Dérivé d’un terme hébraïque signifiant « rendre grâce à Dieu », exprime l’union entre le Dieu du Sinaï, le peuple d’Israël et une Terre sainte. Le peuple juif ne peut donc vivre que dans l’harmonie de cette triade indissoluble.Voyons l’histoire.Suivons le tracé de la migration des clans principaux.L’Ancien Testament, qui en est le souvenir, est une dénomination récusée par les juifs. « Testament » doit être entendu comme un « contrat » et, partant, une « alliance ». L’Alliance entre un Dieu et un peuple.
1. L’aventure juive
Prenons garde.Ceci est un récit écrit sous l’empreinte omniprésente de la foi.Une multitude d’historiens contestent le caractère fiable de cette source, et nous avons choisi quelques-unes de ces critiques à titre d’exemple.
Jean-Baptiste Humbert, archéologue à l’École biblique et archéologique de Jérusalem, écrit dans le « Science et Avenir » consacré à la Bible (n° 113, décembre 1997) : « L’archéologue, aujourd’hui confronté à la Bible, peut ressentir la solitude du coureur de fond : il n’est plus certain que la piste qu’il foule est la bonne. Les dates des épisodes bibliques se mettent à valser, mais, tenu de dresser le décor, il hésite sur le choix du site et le choix de la période. »
Ce livre est la rencontre des terrains religieux et politique, qui aux yeux de l’auteur, ne peuvent s’expliquer l’un sans l’autre. C’est aussi un exposé clair de l’enchevêtrement et des mues des religions les unes par rapport aux autres, tant en Orient qu’en Occident. Si le fil rouge est connu et évident à l’Ouest, il était jusque-là inédit à l’Est.
Il présente aussi l’avantage, considérable pour le lecteur, d’avoir été écrit par une seule personne. Une telle démarche fondée sur les analyses de chercheurs réputés apporte une excellente cohésion didactique à la comparaison de l’ensemble des courants de pensée.
Enfin, il vise à montrer que le spirituel et le sacré ne sont pas l’apanage des seules religions.
Un ouvrage qui questionnent les religions, la laïcité et l'ésotérisme de leurs origines à nos jours.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jacques Rifflet a successivement été avocat, journaliste, éditorialiste et grand reporter à la Radiotélévision belge et enfin professeur et conférencier réputé. L’auteur continue d’être très actif notamment comme président de commissions gouvernementales ou européennes et consultant auprès des médias audiovisuels en plus de multiples cours et conférences de haut niveau.
EXTRAIT
LES RELIGIONS DE L’OCCIDENT OU RELIGIONS ABRAHAMIQUES1. LE JUDAÏSME.
Dérivé d’un terme hébraïque signifiant « rendre grâce à Dieu », exprime l’union entre le Dieu du Sinaï, le peuple d’Israël et une Terre sainte. Le peuple juif ne peut donc vivre que dans l’harmonie de cette triade indissoluble.Voyons l’histoire.Suivons le tracé de la migration des clans principaux.L’Ancien Testament, qui en est le souvenir, est une dénomination récusée par les juifs. « Testament » doit être entendu comme un « contrat » et, partant, une « alliance ». L’Alliance entre un Dieu et un peuple.
1. L’aventure juive
Prenons garde.Ceci est un récit écrit sous l’empreinte omniprésente de la foi.Une multitude d’historiens contestent le caractère fiable de cette source, et nous avons choisi quelques-unes de ces critiques à titre d’exemple.
Jean-Baptiste Humbert, archéologue à l’École biblique et archéologique de Jérusalem, écrit dans le « Science et Avenir » consacré à la Bible (n° 113, décembre 1997) : « L’archéologue, aujourd’hui confronté à la Bible, peut ressentir la solitude du coureur de fond : il n’est plus certain que la piste qu’il foule est la bonne. Les dates des épisodes bibliques se mettent à valser, mais, tenu de dresser le décor, il hésite sur le choix du site et le choix de la période. »