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Retiré en Touraine, Antoine Devilatte décide d’écrire le récit de sa vie. Mémoires ou roman ? Le lecteur en décidera. A quinze ans, en 1798, il quitte ses parents, négociants à Smyrne, pour gagner la France. Il lui faudra vingt-cinq ans, pour un voyage qui n’aurait dû prendre que peu de mois. Au cours de son périple, trois hommes vont marquer son histoire : le pacha de Janina, Ali de Tébélen, potentat cruel et fourbe, le vice-roi d’Égypte Méhémet Ali, modeste officier qui se taille un royaume et fonde une dynastie et, enfin, Napoléon obsédé par l’extension de son empire en Orient.…mehr

Produktbeschreibung
Retiré en Touraine, Antoine Devilatte décide d’écrire le récit de sa vie.
Mémoires ou roman ? Le lecteur en décidera.
A quinze ans, en 1798, il quitte ses parents, négociants à Smyrne, pour gagner la France.
Il lui faudra vingt-cinq ans, pour un voyage qui n’aurait dû prendre que peu de mois.
Au cours de son périple, trois hommes vont marquer son histoire : le pacha de Janina, Ali de Tébélen, potentat cruel et fourbe, le vice-roi d’Égypte Méhémet Ali, modeste officier qui se taille un royaume et fonde une dynastie et, enfin, Napoléon obsédé par l’extension de son empire en Orient. Simultanément trois femmes, la vénitienne Angélina, la grecque Elena et l’anglaise Ann, occuperont, à des degrés divers, ses pensées et parfois ses nuits.
Son parcours le conduira de Constantinople à Venise puis au Caire mais il reviendra toujours à Janina, cité mystérieuse, où les tambours d’Ali Pacha résonnent sur le lac et surtout dans ses souvenirs.
Antoine, qui peine sur son manuscrit, écoute les suggestions de son ami Alexandre Dumas qui, fort de son expérience, lui conseille de privilégier le roman au détriment de l’exactitude de ses Mémoires.
Pour le lecteur, peu importe, quel adolescent ne rêverait de vivre de telles aventures, à une époque où Napoléon arrivait à Moscou quand, le même mois, Méhémet Ali s’emparait de La Mecque ?

À PROPOS DE L'AUTEUR

Après un diplôme de Droit et une licence d'Histoire à la Sorbonne, Philippe Cartier s'est orienté vers le monde de la finance ; cadre dans une grande banque française, il a dirigé une succursale régionale puis, de retour à Paris, s'est spécialisé dans les activités boursières, démarche qui l'a conduit à devenir associé dans une société de Gestion Patrimoniale. Pour autant il n'a pas oublié ses anciennes amours, notamment son attirance pour les études historiques qui s'est concrétisée par une première tentative littéraire.
Lors d'un de ses voyages dans le monde méditerranéen, la découverte de Ioannina (Janina en turc), capitale du célèbre pacha Ali de Tébélen, l'a incité à pénétrer plus avant dans les aventures d'un homme redoutable déjà présent dans Le Comte de Monte-Cristo !
Aujourd'hui, retraité, l'auteur dispose des bibliothèques parisiennes pour étayer ses recherches, toutefois il reste un disciple du grand Alexandre Dumas dont il rêve d'égaler l'art romanesque. Bien entendu il n'ignore pas que, de ce fait, il risque d'encourir les flèches des historiens sérieux mais le prix à payer est faible comparé aux plaisirs de l'imagination.

Autorenporträt
Après un diplôme de Droit et une licence d'Histoire à la Sorbonne, l'auteur s'est orienté vers le monde de la finance ; cadre dans une grande banque française, il a dirigé une succursale régionale puis, de retour à Paris, s'est spécialisé dans les activités boursières, démarche qui l'a conduit à devenir associé dans une société de Gestion Patrimoniale. Pour autant il n'a pas oublié ses anciennes amours, notamment son attirance pour les études historiques qui s'est concrétisée par une première tentative littéraire. Lors d'un de ses voyages dans le monde méditerranéen, la découverte de Ioannina (Janina en turc), capitale du célèbre pacha Ali de Tébélen, l'a incité à pénétrer plus avant dans les aventures d'un homme redoutable déjà présent dans Le Comte de Monte-Cristo ! Aujourd'hui, retraité, l'auteur dispose des bibliothèques parisiennes pour étayer ses recherches, toutefois il reste un disciple du grand Alexandre Dumas dont il rêve d'égaler l'art romanesque. Bien entendu il n'ignore pas que, de ce fait, il risque d'encourir les flèches des historiens sérieux mais le prix à payer est faible comparé aux plaisirs de l'imagination.