Entre mensonges et vérité, l'amour n'est-il qu'un jeu de dupes ?
JPC, célèbre chroniqueur littéraire, ne se remet pas dela disparition soudaine de la femme qu'il aime, Virginia Manstill, écrivain surdouée à la personnalité énigmatique. Pour la retrouver, il décide d'écrire un livre confession...
La plume habilement intrigante de Marie Vincent entend bien nous faire naviguer en eaux troubles et nous tenir en haleine jusqu'au point final.
EXTRAIT
« Je l’ai rencontrée au Salon du livre, porte de Versailles, en 1993. »
Ces mots, je me souviens les avoir prononcés il y a quelques années, quand j’étais au faîte de ma notoriété. C’était la réponse à une question posée par une charmante journaliste en tailleur noir et lunettes rouges. La demoiselle avait été dépêchée pour en savoir plus sur la relation que j’entretenais à l’époque avec Virginia. Rappelez-vous...Virginia Manstill, jeune écrivain à l’avenir prometteur dont la disparition soudaine alimenta quelque temps la une des journaux, avant d’être éclipsée par la mort brutale de Lady Di, en 1997.
Lors de cette interview, la journaliste m’avait demandé où j’avais rencontré Virginia pour la première fois. Engoncée dans un chemisier blanc laissant deviner la forme de ses seins — deux petits globes à l’arrondi parfait qu’un minuscule bouton de nacre tenait à peine prisonniers —, miss Tailleur noir se trémoussait sur sa chaise, frétillant du stylo. Une pensée m’avait alors traversé l’esprit, un frisson, une envie... mais je m’étais tout de suite ressaisi. En levant le nez de son décolleté, je remarquai que la jeune femme cachait, dissimulés derrière ses verres antireflets, de magnifiques yeux bleus, clairs comme un premier jour d’été sur la Côte d’Azur.
JPC, célèbre chroniqueur littéraire, ne se remet pas dela disparition soudaine de la femme qu'il aime, Virginia Manstill, écrivain surdouée à la personnalité énigmatique. Pour la retrouver, il décide d'écrire un livre confession...
La plume habilement intrigante de Marie Vincent entend bien nous faire naviguer en eaux troubles et nous tenir en haleine jusqu'au point final.
EXTRAIT
« Je l’ai rencontrée au Salon du livre, porte de Versailles, en 1993. »
Ces mots, je me souviens les avoir prononcés il y a quelques années, quand j’étais au faîte de ma notoriété. C’était la réponse à une question posée par une charmante journaliste en tailleur noir et lunettes rouges. La demoiselle avait été dépêchée pour en savoir plus sur la relation que j’entretenais à l’époque avec Virginia. Rappelez-vous...Virginia Manstill, jeune écrivain à l’avenir prometteur dont la disparition soudaine alimenta quelque temps la une des journaux, avant d’être éclipsée par la mort brutale de Lady Di, en 1997.
Lors de cette interview, la journaliste m’avait demandé où j’avais rencontré Virginia pour la première fois. Engoncée dans un chemisier blanc laissant deviner la forme de ses seins — deux petits globes à l’arrondi parfait qu’un minuscule bouton de nacre tenait à peine prisonniers —, miss Tailleur noir se trémoussait sur sa chaise, frétillant du stylo. Une pensée m’avait alors traversé l’esprit, un frisson, une envie... mais je m’étais tout de suite ressaisi. En levant le nez de son décolleté, je remarquai que la jeune femme cachait, dissimulés derrière ses verres antireflets, de magnifiques yeux bleus, clairs comme un premier jour d’été sur la Côte d’Azur.