L’étude des mythes nous amenait aussi à celle du sacrifice. Nous répugnions à voir dans ceux-ci des maladies du langage ou des fantaisies déréglées de l’imagination individuelle. Nous nous méfiions également des naturistes, qui voient partout des symboles, et des animistes, qui voient partout des rêves. Les mythes nous paraissaient avoir une valeur pratique ; ils sont empreints de véracité, de certitude, de constance. Nous pressentions la logique de leur agencement et la nécessité de leurs thèmes.