Deux cadavres dans la première page, troisième dans la suivante... Sans doutes, ce sont les meurtres violentes: pistolet et poison sont les instruments. «Monsieur Lecoq» est vraiment le grand chef-d’œuvre de son père, Emile Gaboriau, qui est un peintre authentique de l’époque du Second Empire. L’auteur nous entraîne à voyage dans le temps pour découvrir cet ancêtre des polars, un complot entre deux familles et une énigme passionnante qui s’impose par l’analyse psychologique et la dimension historique.