L'incendie de Notre-Dame de Paris, le 15 avril 2019, nous a sidérés comme si une part de nous-mêmes avait brûlé, une part d'enfance avec notre Mère. Et Marie-Amélie Tek en a été d'autant plus bouleversée qu'elle a voué son travail d'architecte à la préservation du patrimoine.
Dans cet essai, écrit avec le cœur et un style d'une poésie éblouissante, l'auteur revient sur la signification profonde de ce bâtiment, sur le rapport à la matière et à l'harmonie, s'effrayant que l'on dissocie l'usage du lieu et sa construction. Elle appelle les architectes à respecter le bois de la charpente, vivante matière qui vit aussi de la fonction qu'on lui donne et de l'âme de ceux qui la travaillent. À s'effacer derrière les mille ans de prières qui ont façonné Notre-Dame. À ne pas oublier les habitants de l'édifice, âmes du passé qui demeurent entre les murs, hommes du présent qui espèrent et ceux du futur à qui l'on se doit de parler de nous.
À la suite de Victor Hugo qui voyait en Notre-Dame une œuvre d'art totale, Marie-Amélie Tek nous propose un texte visionnaire qui nous questionne sur notre rapport à la cathédrale Notre-Dame de Paris, mais aussi sur la résonance du patrimoine en chacun de nous.
Préface de Christophe Barbier
À PROPOS DE L'AUTEURE
Née en 1982, Marie-Amélie Tek est diplômée de l'école nationale supérieure d'architecture Paris-Malaquais et de l'école de Chaillot. En tant qu'Architecte du Patrimoine, elle intervient sur des monuments historiques prestigieux de notre patrimoine.
Dans cet essai, écrit avec le cœur et un style d'une poésie éblouissante, l'auteur revient sur la signification profonde de ce bâtiment, sur le rapport à la matière et à l'harmonie, s'effrayant que l'on dissocie l'usage du lieu et sa construction. Elle appelle les architectes à respecter le bois de la charpente, vivante matière qui vit aussi de la fonction qu'on lui donne et de l'âme de ceux qui la travaillent. À s'effacer derrière les mille ans de prières qui ont façonné Notre-Dame. À ne pas oublier les habitants de l'édifice, âmes du passé qui demeurent entre les murs, hommes du présent qui espèrent et ceux du futur à qui l'on se doit de parler de nous.
À la suite de Victor Hugo qui voyait en Notre-Dame une œuvre d'art totale, Marie-Amélie Tek nous propose un texte visionnaire qui nous questionne sur notre rapport à la cathédrale Notre-Dame de Paris, mais aussi sur la résonance du patrimoine en chacun de nous.
Préface de Christophe Barbier
À PROPOS DE L'AUTEURE
Née en 1982, Marie-Amélie Tek est diplômée de l'école nationale supérieure d'architecture Paris-Malaquais et de l'école de Chaillot. En tant qu'Architecte du Patrimoine, elle intervient sur des monuments historiques prestigieux de notre patrimoine.