♦ Cet ebook bénéficie d’une mise en page esthétique optimisée pour la lecture numérique. ♦
« Sans doute, c’est encore aujourd’hui un majestueux et sublime édifice que l’église de Notre-Dame de Paris. » - V.Hugo
Considérée comme la plus belle oeuvre consacrée à cet inestimable trésor de l’humanité qu’est la Cathédrale Notre-Dame de Paris, ce roman historique de Victor Hugo vous plongera dans les entrailles de ce joyau du patrimoine français.
Le sort tragique des personnages principaux nourrit une réflexion sur le destin, réflexion traversée par la notion d’Ananké (littéralement la fatalité). Dans sa préface, Victor Hugo dévoile que c’est ce mot grec gravé dans l’une des tours du bâtiment qui lui a inspiré cette sublime histoire.
Certains passages de cette oeuvre semblent aux regards des événements actuels prémonitoires : « Tous les yeux s’étaient levés vers le haut de l’église. Ce qu’ils voyaient était extraordinaire. Sur le sommet de la galerie la plus élevée, plus haut que la rosace centrale, il y avait une grande flamme qui montait entre les deux clochers avec des tourbillons d’étincelles, une grande flamme désordonnée et furieuse dont le vent emportait par moments un lambeau dans la fumée. Au-dessous de cette flamme, au-dessous de la sombre balustrade à trèfles de braise, deux gouttières en gueules de monstres vomissaient sans relâche cette pluie ardente qui détachait son ruissellement argenté sur les ténèbres de la façade inférieure ».
Un classique de la littérature française à (re)lire pour honorer ce symbole français durement éprouvé par les flammes.
« Sans doute, c’est encore aujourd’hui un majestueux et sublime édifice que l’église de Notre-Dame de Paris. » - V.Hugo
Considérée comme la plus belle oeuvre consacrée à cet inestimable trésor de l’humanité qu’est la Cathédrale Notre-Dame de Paris, ce roman historique de Victor Hugo vous plongera dans les entrailles de ce joyau du patrimoine français.
Le sort tragique des personnages principaux nourrit une réflexion sur le destin, réflexion traversée par la notion d’Ananké (littéralement la fatalité). Dans sa préface, Victor Hugo dévoile que c’est ce mot grec gravé dans l’une des tours du bâtiment qui lui a inspiré cette sublime histoire.
Certains passages de cette oeuvre semblent aux regards des événements actuels prémonitoires : « Tous les yeux s’étaient levés vers le haut de l’église. Ce qu’ils voyaient était extraordinaire. Sur le sommet de la galerie la plus élevée, plus haut que la rosace centrale, il y avait une grande flamme qui montait entre les deux clochers avec des tourbillons d’étincelles, une grande flamme désordonnée et furieuse dont le vent emportait par moments un lambeau dans la fumée. Au-dessous de cette flamme, au-dessous de la sombre balustrade à trèfles de braise, deux gouttières en gueules de monstres vomissaient sans relâche cette pluie ardente qui détachait son ruissellement argenté sur les ténèbres de la façade inférieure ».
Un classique de la littérature française à (re)lire pour honorer ce symbole français durement éprouvé par les flammes.