Dans ce nouveau recueil de haïkus, la poétesse évoque avec sobriété et justesse la perte de la mère et la séparation amoureuse.
Dans la première partie du livre, à travers ce genre littéraire minimaliste qu'on appelle le haïku, l'auteure nous propose quelques strophes/images croquées sur le vif et glanées au fil des saisons qu'elle puise à même l'actualité.
Puis, dans la seconde partie du recueil, elle enchaînera via cette poésie nippone atypique, pour raconter des fragments de sa vie plutôt sombres, où la séparation d'avec son compagnon de vie des trente et une dernières années succédera au décès de sa mère avec cette touche d’humour qu’on lui reconnaît volontiers.
Ces poèmes sur le deuil et l'absence résonneront en chacun de nous.
EXTRAIT
le mot s’édulcore
et l’encre rouge du cœur
au vent s’évapore
À PROPOS DE L'AUTEURE
Réviseuse linguistique et auteure d’une quinzaine d’ouvrages dont certains sont traduits en anglais, en créole, en roumain et en russe, Diane Descôteaux a signé plusieurs préfaces et collabore à au-delà de 500 revues et anthologies.
Dans la première partie du livre, à travers ce genre littéraire minimaliste qu'on appelle le haïku, l'auteure nous propose quelques strophes/images croquées sur le vif et glanées au fil des saisons qu'elle puise à même l'actualité.
Puis, dans la seconde partie du recueil, elle enchaînera via cette poésie nippone atypique, pour raconter des fragments de sa vie plutôt sombres, où la séparation d'avec son compagnon de vie des trente et une dernières années succédera au décès de sa mère avec cette touche d’humour qu’on lui reconnaît volontiers.
Ces poèmes sur le deuil et l'absence résonneront en chacun de nous.
EXTRAIT
le mot s’édulcore
et l’encre rouge du cœur
au vent s’évapore
À PROPOS DE L'AUTEURE
Réviseuse linguistique et auteure d’une quinzaine d’ouvrages dont certains sont traduits en anglais, en créole, en roumain et en russe, Diane Descôteaux a signé plusieurs préfaces et collabore à au-delà de 500 revues et anthologies.