Paul arrive en fin de vie et raconte son histoire extraordinaire emplie de secrets à un journaliste désargenté.
« Je m'appelle Paul », ce sont les seuls mots que prononce l'enfant rescapé d'une tragédie dans laquelle ses parents et ses soeurs ont péri. Le monoxyde de carbone a tué.
L'histoire est racontée par Paul en fin de vie à un journaliste désargenté, Jean-Luc Jandrain. Il l'a harponné en lui promettant une grosse enveloppe pour l'écrire.
Lors de leur première rencontre, Paul, annonce tout à trac à Jean-Luc qu'il est son frère. Celui-ci reconnaît en Paul un ancien premier ministre haut en couleur. L'histoire de Paul va être racontée « pour ainsi dire à quatre mains » ; par lui-même et son « frère ».
Adopté aussitôt par «tante Armelle», soeur de sa mère, qu'il ne connaissait pas. Il sera élevé, rue Varin, près de la gare des Guillemins à Liège, une rue éclairée aux néons de la prostitution. La maison de tante Armelle est un « bordel-vitrine » : le « Cupidon ». Le rez-de-chaussée, c'est pour l'amour. L'appartement est à l'étage, le couloir est pour Paul ; c'est là qu'il dormira jusqu'à ce qu'il devienne adulte. Le grenier est interdit comme dans le château de Barbe Bleue.
Ensuite viendra l'apprentissage à la boucherie où Léa, sa patronne, nouera avec lui une relation sentimentale qui durera toute sa vie.
S'en suivit la retraite de la vie politique et l'enlèvement contre rançon. À sa libération, veuf, Paul retrouve le bahut de tante Armelle et ses objets personnels, ceux qu'elle planquait au grenier du «bordel» où elle seule pouvait accéder. Un double fond, jamais remarqué auparavant, va révéler bien des choses...
Oui, ce Paul est inspiré d'un homme politique qui a réellement existé dans la Belgique des années 60-70.
Si la ressemblance est grande, elle n'est que prétexte à écrire une biographie complètement fantasmée du personnage, sans grand rapport avec l'original.
Ce récit de vie fantasmé s'inspirant de faits réels est conté à quatre mains et touchera le lecteur !
À PROPOS DE L'AUTEUR
Lorenzo Cecchi est né à Charleroi en 1952. Agrégé en sociologie il a été animateur de maison de jeunes, promoteur des spectacles au National, administrateur de sociétés, ou encore commissaire d'exposition avant de terminer sa carrière en tant que commercial dans une société de protection incendie. Pendant dix ans, il a également enseigné la philosophie de l'art à l'académie des Beaux-arts de Mons.
Son premier roman, Nature morte aux papillons au Castor Astral (2012) a été sélectionné pour le Prix Première de la RTBF, le prix Alain-Fournier, ainsi que les prix Saga Café et des lecteurs du magazine « Notre Temps ». Il a publié chez ONLIT éditions Faux Témoignages et Petite fleur de Java, respectivement en 2014 et 2015. En 2016 sont parus Un verger sous les étoiles aux éditions du CEP et Contes espagnols, un recueil de nouvelles illustrées par le peintre Jean- Marie Molle, au Cactus inébranlable éditions.
« Je m'appelle Paul », ce sont les seuls mots que prononce l'enfant rescapé d'une tragédie dans laquelle ses parents et ses soeurs ont péri. Le monoxyde de carbone a tué.
L'histoire est racontée par Paul en fin de vie à un journaliste désargenté, Jean-Luc Jandrain. Il l'a harponné en lui promettant une grosse enveloppe pour l'écrire.
Lors de leur première rencontre, Paul, annonce tout à trac à Jean-Luc qu'il est son frère. Celui-ci reconnaît en Paul un ancien premier ministre haut en couleur. L'histoire de Paul va être racontée « pour ainsi dire à quatre mains » ; par lui-même et son « frère ».
Adopté aussitôt par «tante Armelle», soeur de sa mère, qu'il ne connaissait pas. Il sera élevé, rue Varin, près de la gare des Guillemins à Liège, une rue éclairée aux néons de la prostitution. La maison de tante Armelle est un « bordel-vitrine » : le « Cupidon ». Le rez-de-chaussée, c'est pour l'amour. L'appartement est à l'étage, le couloir est pour Paul ; c'est là qu'il dormira jusqu'à ce qu'il devienne adulte. Le grenier est interdit comme dans le château de Barbe Bleue.
Ensuite viendra l'apprentissage à la boucherie où Léa, sa patronne, nouera avec lui une relation sentimentale qui durera toute sa vie.
S'en suivit la retraite de la vie politique et l'enlèvement contre rançon. À sa libération, veuf, Paul retrouve le bahut de tante Armelle et ses objets personnels, ceux qu'elle planquait au grenier du «bordel» où elle seule pouvait accéder. Un double fond, jamais remarqué auparavant, va révéler bien des choses...
Oui, ce Paul est inspiré d'un homme politique qui a réellement existé dans la Belgique des années 60-70.
Si la ressemblance est grande, elle n'est que prétexte à écrire une biographie complètement fantasmée du personnage, sans grand rapport avec l'original.
Ce récit de vie fantasmé s'inspirant de faits réels est conté à quatre mains et touchera le lecteur !
À PROPOS DE L'AUTEUR
Lorenzo Cecchi est né à Charleroi en 1952. Agrégé en sociologie il a été animateur de maison de jeunes, promoteur des spectacles au National, administrateur de sociétés, ou encore commissaire d'exposition avant de terminer sa carrière en tant que commercial dans une société de protection incendie. Pendant dix ans, il a également enseigné la philosophie de l'art à l'académie des Beaux-arts de Mons.
Son premier roman, Nature morte aux papillons au Castor Astral (2012) a été sélectionné pour le Prix Première de la RTBF, le prix Alain-Fournier, ainsi que les prix Saga Café et des lecteurs du magazine « Notre Temps ». Il a publié chez ONLIT éditions Faux Témoignages et Petite fleur de Java, respectivement en 2014 et 2015. En 2016 sont parus Un verger sous les étoiles aux éditions du CEP et Contes espagnols, un recueil de nouvelles illustrées par le peintre Jean- Marie Molle, au Cactus inébranlable éditions.
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