En 1870, l’auteur est mobilisé à Chalons en Champagne. Il s’enrôle dans les 3e zouaves, compagnie active. Il est envoyé à Mézières puis à Sedan où il combat. La capitulation est signée et ils deviennent prisonniers de guerre. Il s’évade en Belgique, prend le train pour Paris et combat à nouveau dans la banlieue. Paris est protégé par des forts. Son bataillon est décimé. Un jour, il va à Paris et constate que la vie est paisible. Il retourne au front, livre de grosses batailles, puis l’armistice est signé, Paris se rend.