2,99 €
inkl. MwSt.
Sofort per Download lieferbar
payback
0 °P sammeln
  • Format: PDF

Résumé de l’année 2016 dans le domaine Etudes des langues romanes - Français - Linguistique, note: 1,3, Bergische Universität Wuppertal, langue: Français, résumé: Il existe une certaine espace dans la recherche qui s'épandre et qui essaie de prouver que la transformation de langage est favorisé par des prédictions basé du contexte. Après des résultats récents, le cerveau calcule des estimations sur lesquels il estime la probabilité d'une sélection des mots, qui pourraient suivre dans des structures syntaxique suivantes. Des mots qui ne paraissent pas physiquement comme la catégorie prévu,…mehr

Produktbeschreibung
Résumé de l’année 2016 dans le domaine Etudes des langues romanes - Français - Linguistique, note: 1,3, Bergische Universität Wuppertal, langue: Français, résumé: Il existe une certaine espace dans la recherche qui s'épandre et qui essaie de prouver que la transformation de langage est favorisé par des prédictions basé du contexte. Après des résultats récents, le cerveau calcule des estimations sur lesquels il estime la probabilité d'une sélection des mots, qui pourraient suivre dans des structures syntaxique suivantes. Des mots qui ne paraissent pas physiquement comme la catégorie prévu, affectent une volume élevée de la composante M100, c'est la première réponse MEG sur la stimulation visuelle. Cette étude traite la question, si des violations des prédictions, basées sur des informations lexicaux-sémantiques, pourraient effectuer des effets visuels similaires. Il y avait un exercice dont les participants devaient classer des images aux descriptions adéquates / correspondantes. On y a trouvé beaucoup d’effets visuels antérieurs des mots qui n'ont pas forcement décrit l'image correctement. Ces résultats démontrent que, comme les prédictions syntaxiques, les prédictions lexicaux-sémantiques peuvent tôt influencer le processus visuel dès environ 100ms; partir du principe que la réponse M100 n'est pas la seule réponse qui sait reconnaitre des effets visuels, en dépendance de leur catégorie syntaxique de l'analyse. Le cerveau génère probablement lui-même des prédictions en conformité avec l'input visuelle. Cependant il s'est produit beaucoup d'effets visuels de dysfonctionnements lexicaux-sémantiques quand un seul point lexical a été prévu. Dikker et Pylkkanen argumentent que cela peut être mis au compte de l'aspect que normalement le processus de langage naturel ne met pas directement en groupe les champs lexicaux-sémantiques, comme par exemple 'fleur' et des champs visuelles ou auditives comme par exemple 'tulipe, rose et magnolia'. Au contraire de cela les catégories syntaxiques sont fiables en corrélation avec l'appartenance de la catégorie. Cette différence peut expliquer partiellement pourquoi quelques effets syntaxiques apparaissent plus tôt que les effets lexicaux-sémantiques.