Au coeur de l'instruction pénale, la Justice cache parfois ceux présumés être au-dessus de tout soupçon...
Un roman qui se situe dans le monde clos de l’instruction pénale, où se côtoient juges, policiers, avocats, experts… Où sous « la foi du palais », s’échangent hors procédure des secrets qui bousculent le cours d’une affaire criminelle, dans laquelle des membres de la famille judiciaire présumés être au-dessus de tout soupçon, s’avèrent aussi faillibles que le commun des mortels. A la base de ce livre, il y a ce leitmotiv mille fois entendu : il faut laisser la justice faire son travail. Bien commode pour enterrer les doléances de ceux qui ont de bonnes raisons de penser qu’elle le fait parfois très mal.
Découvrez sans plus attendre un polar haletant dans lequel tout le monde peut être coupable, y compris les membres de ce qu'on appelle Justice.
EXTRAIT
Je ne l'ai pas tuée. Depuis hier, je le répète à tout le monde mais personne ne veut me croire. Les policiers m'ont bousculé pour obtenir des aveux. Le juge d'instruction de permanence, un jeune branleur dérangé par l'escorte dans ses ébats avec sa greffière, m'a expédié comme un vulgaire malfrat. Un peu moins brutal que les flics. Quoique. J'ai comparu devant lui ce matin, menottes serrées aux poignets, attachées dans mon dos. La veille du 15 août. Pas le scénario idéal. Tout de même, je suis avocat et j'appartiens toujours à la famille judiciaire. Ce blanc-bec - je ne lui donne pas trente ans - aurait pu avoir un peu plus de respect à mon égard. Sauf à considérer que j'ai une tête d'assassin, ce qui est peut-être le cas après vingt-quatre heures de garde à vue. Même mon avocat, de permanence lui aussi, semblait accablé par la lourdeur de sa tâche.
Un roman qui se situe dans le monde clos de l’instruction pénale, où se côtoient juges, policiers, avocats, experts… Où sous « la foi du palais », s’échangent hors procédure des secrets qui bousculent le cours d’une affaire criminelle, dans laquelle des membres de la famille judiciaire présumés être au-dessus de tout soupçon, s’avèrent aussi faillibles que le commun des mortels. A la base de ce livre, il y a ce leitmotiv mille fois entendu : il faut laisser la justice faire son travail. Bien commode pour enterrer les doléances de ceux qui ont de bonnes raisons de penser qu’elle le fait parfois très mal.
Découvrez sans plus attendre un polar haletant dans lequel tout le monde peut être coupable, y compris les membres de ce qu'on appelle Justice.
EXTRAIT
Je ne l'ai pas tuée. Depuis hier, je le répète à tout le monde mais personne ne veut me croire. Les policiers m'ont bousculé pour obtenir des aveux. Le juge d'instruction de permanence, un jeune branleur dérangé par l'escorte dans ses ébats avec sa greffière, m'a expédié comme un vulgaire malfrat. Un peu moins brutal que les flics. Quoique. J'ai comparu devant lui ce matin, menottes serrées aux poignets, attachées dans mon dos. La veille du 15 août. Pas le scénario idéal. Tout de même, je suis avocat et j'appartiens toujours à la famille judiciaire. Ce blanc-bec - je ne lui donne pas trente ans - aurait pu avoir un peu plus de respect à mon égard. Sauf à considérer que j'ai une tête d'assassin, ce qui est peut-être le cas après vingt-quatre heures de garde à vue. Même mon avocat, de permanence lui aussi, semblait accablé par la lourdeur de sa tâche.