Durant lui nuit où se déroulait le gala de charité organisé par Kiril Savoski, des hommes entièrement vêtus de noir ont retrouvé un corps inanimé, non loin du Pont-Neuf, à Saint-Pétersbourg, lors de leur ronde quotidienne. La femme portait une robe de soirée mauve et son corps arborait les stigmates de coups, plus ou moins anciens. Que lui est-il arrivé ? Faisait-elle partie de la fête organisée par la mafia ou était-elle une de leur victime ? Plus important encore, l'homme qui l'a retrouvée deviendra-t-il son protecteur ou son tortionnaire à son tour ?
À PROPOS DE L'AUTRICE
Passionnée d’écriture, elle s'est lancée dedans en prenant sa plume à l’âge de 11 ans pour sortir sa première histoire. Aujourd’hui, âgée d’une trentaine d’années, elle a plusieurs histoires à son actif, tant dans la romance que dans le fantastique, et elle ne compte pas s’arrêter là. Écrire un roman est pour elle une échappatoire dans laquelle elle peut construire et déconstruire au fil des pages ses intrigues et transformer un protagoniste en antagoniste, et vice-versa. Elle aime également créer des fins “surprenantes” et créer tant de la frustration que de la surprise et des questionnements chez le lecteur. Elle n’envisage pas une histoire où la fin est connue dès les premiers chapitres, ni que les personnages soient ce que l'on attend d'eux. Loin des clichés, elle attache une importance à faire de ses enfants de papier des “monsieur, madame tout le monde”. Dans ses histoires, elle évoque le handicape, l’abandon, la maltraitance, mais aussi l’amour bien sûr et l’humour.
À PROPOS DE L'AUTRICE
Passionnée d’écriture, elle s'est lancée dedans en prenant sa plume à l’âge de 11 ans pour sortir sa première histoire. Aujourd’hui, âgée d’une trentaine d’années, elle a plusieurs histoires à son actif, tant dans la romance que dans le fantastique, et elle ne compte pas s’arrêter là. Écrire un roman est pour elle une échappatoire dans laquelle elle peut construire et déconstruire au fil des pages ses intrigues et transformer un protagoniste en antagoniste, et vice-versa. Elle aime également créer des fins “surprenantes” et créer tant de la frustration que de la surprise et des questionnements chez le lecteur. Elle n’envisage pas une histoire où la fin est connue dès les premiers chapitres, ni que les personnages soient ce que l'on attend d'eux. Loin des clichés, elle attache une importance à faire de ses enfants de papier des “monsieur, madame tout le monde”. Dans ses histoires, elle évoque le handicape, l’abandon, la maltraitance, mais aussi l’amour bien sûr et l’humour.