The chateau into which my valet had ventured to make forcible entrance, rather than permit me, in my desperately wounded condition, to pass a night in the open air, was one of those piles of commingled gloom and grandeur which have so long frowned among the Appennines, not less in fact than in the fancy of Mrs. Radcliffe. Un homme blessé et son domestique s'installent pour une nuit dans un château étrange et abandonné des Apennins. La nuit, alors que le maître ne trouve pas le sommeil, il contemple les tableaux exposés dans sa chambre, tout en lisant le volume trouvé sur son oreiller contenant l'analyse de ces toiles. Quelques heures plus tard, le narrateur se penche pour déplacer le candélabre qui l'éclaire, un rai de lumière éclaire alors un tableau au réalisme saisissant qu'il n'avait pas remarqué. Le tableau représente une jeune personne en passe, selon le narrateur, de passer du statut de jeune fille à celui de femme. Le tableau est peint avec tellement de virtuosité et tellement d'ardeur que la jeune fille paraît vivante, ce qui frappe le narrateur. Après avoir passé plus d'une heure à contempler le tableau, l'homme lit l'analyse de ce portrait dans le recueil. Le reste de la nouvelle est un extrait de ce volume qui raconte l'histoire du tableau. La jeune fille était une personne d'une rare beauté qui épousa un peintre. Le peintre était passionné par son art, ce qui la rendit malheureuse. Un jour, le peintre décida de faire un portrait d'elle, ce qu'elle n'osa refuser. A mesure que les semaines passaient, le tableau était de plus en plus abouti et le peintre, sans remarquer que son épouse allait de plus en plus mal, après des heures passées dans la tour où il la peignait, était de plus en plus absorbé par son travail. Ce travail intensif rendit le peintre fou. Le jour où le tableau fut achevé, le peintre se rendit compte que son tableau était la vie même et que sa femme était morte après avoir donné vie au tableau.