« Il faudrait imaginer un Tolstoï presque inconnu des Français, un Dostoïevski peu ou mal traduit, un Tchekhov ignoré. Hypothèse invraisemblable, mais qui permet de mesurer combien est étrange la méconnaissance de l’œuvre de Bounine... »
Ivan Bounine fut le premier écrivain russe à recevoir le prix Nobel de littérature, en 1933, alors qu’il était en exil en France et que l’U.R.S.S. s’attendait à voir Maxime Gorki, son écrivain officiel, être récompensé. Ce recueil contient sept des plus belles nouvelles de l’écrivain: Trois roubles, La Grammaire de l’amour, Nuit en mer, Coup de soleil, Casimir Stanislavovtich, Ida, Le Sarafane de Mordovie. Sept variations autour de l’homme, de la femme, de l’amour, pour une œuvre où tragique et lyrisme se condensent en une méditation sur l’âme russe.
« La vraie grammaire de Bounine prédit l’imprévisible gestation de la beauté dans le magma du vécu. La beauté se cristallise, prend forme, mûrit. [...] Le lieu commun romanesque appelé amour est vécu dans une telle densité de perception que le réel en sort transfiguré. »
(extraits de la préface d’Andreï Makine)
Ivan Bounine fut le premier écrivain russe à recevoir le prix Nobel de littérature, en 1933, alors qu’il était en exil en France et que l’U.R.S.S. s’attendait à voir Maxime Gorki, son écrivain officiel, être récompensé. Ce recueil contient sept des plus belles nouvelles de l’écrivain: Trois roubles, La Grammaire de l’amour, Nuit en mer, Coup de soleil, Casimir Stanislavovtich, Ida, Le Sarafane de Mordovie. Sept variations autour de l’homme, de la femme, de l’amour, pour une œuvre où tragique et lyrisme se condensent en une méditation sur l’âme russe.
« La vraie grammaire de Bounine prédit l’imprévisible gestation de la beauté dans le magma du vécu. La beauté se cristallise, prend forme, mûrit. [...] Le lieu commun romanesque appelé amour est vécu dans une telle densité de perception que le réel en sort transfiguré. »
(extraits de la préface d’Andreï Makine)