La quête du bonheur, une aventure qui peut rendre tout le monde heureux !
Paul décide un jour de quitter un métier où il s’ennuie pour devenir sculpteur, le rêve de sa vie. De jour en jour, il façonne des têtes en argile, rien que des têtes... Les hasards de l’existence l’amènent à rencontrer – et surtout à réunir – des êtres dont il s’ingénie à faire le bonheur comme investi d’une mission divine. Sa notoriété établie et son art reconnu, il se lance dans une course autour du monde en quête du bonheur des autres. Ses expéditions au Brésil, au Pérou ou en Thaïlande sont autant d’occasions de vivre des aventures insolites, parfois périlleuses, toujours exaltantes. À la fin, demeure sa mission la plus hasardeuse… faire son propre bonheur !
À travers les yeux de Paul, personnage à l’âme d’enfant, Pascal Olive aborde les thèmes fondamentaux de la surexploitation des ressources de la planète, de l’accroissement de l’individualisme ou des replis communautaires. Par-dessus tout, l’auteur dénonce le manque de curiosité et d’écoute de l’autre, qui caractérise aujourd’hui les sociétés humaines. D’un optimisme raisonné, Pascal Olive montre la voie de l’espoir si nous savons nous écouter, nous apprécier et nous entendre. Son message est d’autant plus percutant que le récit soutient la réflexion sans donner de leçon. Ce faisant, il renoue avec bonheur avec les romans philosophiques du XVIIIe siècle.
À la fois roman d’aventures et conte philosophique, Têtes à Têtes nous propose habilement de réfléchir sur le sens de la vie en société, sur la nature humaine et le partage.
EXTRAIT
Des têtes, des têtes, oui, rien que des têtes. Pas tout à fait, mais presque.
Des hommes, des femmes, rarement des enfants. Des adultes surtout.
Des têtes. Arrivé à l’âge de raison, il en avait sculpté beaucoup. Le nombre, il ne saurait pas le dire de mémoire, mais un grand nombre en tous les cas.
Pourquoi des têtes ?
Il lui était aussi difficile de dire simplement pourquoi, bien qu’aujourd’hui il sache, lui, pourquoi il avait sculpté toutes ces têtes.
Il était le seul à en connaître les véritables raisons, mais il lui était impossible de les livrer même aux amis en qui il avait confiance. Les plus indulgents l’auraient au mieux pris pour un pauvre fou inoffensif n’ayant plus toute sa tête.
Paul décide un jour de quitter un métier où il s’ennuie pour devenir sculpteur, le rêve de sa vie. De jour en jour, il façonne des têtes en argile, rien que des têtes... Les hasards de l’existence l’amènent à rencontrer – et surtout à réunir – des êtres dont il s’ingénie à faire le bonheur comme investi d’une mission divine. Sa notoriété établie et son art reconnu, il se lance dans une course autour du monde en quête du bonheur des autres. Ses expéditions au Brésil, au Pérou ou en Thaïlande sont autant d’occasions de vivre des aventures insolites, parfois périlleuses, toujours exaltantes. À la fin, demeure sa mission la plus hasardeuse… faire son propre bonheur !
À travers les yeux de Paul, personnage à l’âme d’enfant, Pascal Olive aborde les thèmes fondamentaux de la surexploitation des ressources de la planète, de l’accroissement de l’individualisme ou des replis communautaires. Par-dessus tout, l’auteur dénonce le manque de curiosité et d’écoute de l’autre, qui caractérise aujourd’hui les sociétés humaines. D’un optimisme raisonné, Pascal Olive montre la voie de l’espoir si nous savons nous écouter, nous apprécier et nous entendre. Son message est d’autant plus percutant que le récit soutient la réflexion sans donner de leçon. Ce faisant, il renoue avec bonheur avec les romans philosophiques du XVIIIe siècle.
À la fois roman d’aventures et conte philosophique, Têtes à Têtes nous propose habilement de réfléchir sur le sens de la vie en société, sur la nature humaine et le partage.
EXTRAIT
Des têtes, des têtes, oui, rien que des têtes. Pas tout à fait, mais presque.
Des hommes, des femmes, rarement des enfants. Des adultes surtout.
Des têtes. Arrivé à l’âge de raison, il en avait sculpté beaucoup. Le nombre, il ne saurait pas le dire de mémoire, mais un grand nombre en tous les cas.
Pourquoi des têtes ?
Il lui était aussi difficile de dire simplement pourquoi, bien qu’aujourd’hui il sache, lui, pourquoi il avait sculpté toutes ces têtes.
Il était le seul à en connaître les véritables raisons, mais il lui était impossible de les livrer même aux amis en qui il avait confiance. Les plus indulgents l’auraient au mieux pris pour un pauvre fou inoffensif n’ayant plus toute sa tête.