La recherche de la vérité peut amener à des révélations surprenantes...
Jean (Nono) mène une vie de lycéen chez ses parents. Il souhaite devenir ingénieur. Il refait le monde avec son ami Paul qui habite le même immeuble. Un jour, achetant son pain, il bavarde plus longuement avec Rose, la fille de la boulangère. Débute alors avec elle une relation amoureuse. Alors qu'ils filent un grand amour, Rose disparaît mystérieusement. Rapidement l’enquête se met en place, mais des faits surprenants la font basculer. Anéanti par cette disparition, et perturbé par la tournure prise par l'investigation, Nono fera tout pour découvrir l'effroyable vérité.
Découvrez sans tarder ce polar haletant aux nombreux rebondissements !
EXTRAIT
Quand j’arrivai à la maison, tout le monde était couché et, le lendemain, le réveil me tira du lit très tôt, en même temps que mon père qui partait au travail. Ma mère et ma sœur dormaient encore quand je partis en cours. Le soir en rentrant, malgré mon envie de passer à la boulangerie, je rentrai directement à la maison. Pendant que je prenais mon goûter dans la cuisine, ma mère me dit, d’un air attristé : « Tu n’es évidemment pas au courant de ce qui est arrivé à Rose, la fille de la boulangère de la place de la Paix !
– Non ! Quoi ?
– Elle a disparu.
Je faillis m’étouffer en avalant ma tartine !
– Quoi ? Qu’est-ce que tu me dis là ?
– Oui, elle n’est pas rentrée chez elle depuis vendredi soir.
– Vendredi soir ? Mais comment tu sais ça, maman ?
Cette nouvelle était comme un coup de massue. J’étais abasourdi. Je croyais devenir fou. J’avais envie de hurler, mon cœur s’était mis à battre deux fois plus vite, j’avais du mal à respirer tant j’étais oppressé.
– Je l’ai su ce matin en allant au pain. La boulangère est tellement affolée qu’elle le dit à tous les clients. La police a été informée dès samedi.
– Mais maman, j’étais avec elle vendredi soir…
– Ah, c’était toi ? C’est ce que la boulangère disait : “Elle est sortie vendredi soir peu avant huit heures avec un ami faire un tour, comme elle faisait souvent le soir, mais elle rentrait toujours à peu près à la même heure, vers neuf ou dix heures, même si André râlait, car elle revenait alors évidemment toujours après le dîner.”
– Maman, hurlai-je, je te dis que j’étais avec elle vendredi soir, je l’ai quittée quand elle repartait chez elle, tandis que je remontais ici. Je dois aller voir tout de suite la boulangère. Je veux avoir plus d’informations, tu te rends compte de ce qui arrive ? »
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean Laurent est né le 22 juillet 1933 à Saint Germain-en-Laye. Ingénieur de formation, il effectua sa carrière dans la recherche pétrolière, la géothermie et la recherche de l'eau par puits et forages où il terminera comme P.D.G. Il fut aussi élu conseiller municipal d'opposition dans sa ville natale de 1989 à 2008. Il a publié entre autres son autobiographie à la demande d'un de ses petits-fils, sous le titre : Je dirai malgré tout que cette vie fut belle.
Jean (Nono) mène une vie de lycéen chez ses parents. Il souhaite devenir ingénieur. Il refait le monde avec son ami Paul qui habite le même immeuble. Un jour, achetant son pain, il bavarde plus longuement avec Rose, la fille de la boulangère. Débute alors avec elle une relation amoureuse. Alors qu'ils filent un grand amour, Rose disparaît mystérieusement. Rapidement l’enquête se met en place, mais des faits surprenants la font basculer. Anéanti par cette disparition, et perturbé par la tournure prise par l'investigation, Nono fera tout pour découvrir l'effroyable vérité.
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EXTRAIT
Quand j’arrivai à la maison, tout le monde était couché et, le lendemain, le réveil me tira du lit très tôt, en même temps que mon père qui partait au travail. Ma mère et ma sœur dormaient encore quand je partis en cours. Le soir en rentrant, malgré mon envie de passer à la boulangerie, je rentrai directement à la maison. Pendant que je prenais mon goûter dans la cuisine, ma mère me dit, d’un air attristé : « Tu n’es évidemment pas au courant de ce qui est arrivé à Rose, la fille de la boulangère de la place de la Paix !
– Non ! Quoi ?
– Elle a disparu.
Je faillis m’étouffer en avalant ma tartine !
– Quoi ? Qu’est-ce que tu me dis là ?
– Oui, elle n’est pas rentrée chez elle depuis vendredi soir.
– Vendredi soir ? Mais comment tu sais ça, maman ?
Cette nouvelle était comme un coup de massue. J’étais abasourdi. Je croyais devenir fou. J’avais envie de hurler, mon cœur s’était mis à battre deux fois plus vite, j’avais du mal à respirer tant j’étais oppressé.
– Je l’ai su ce matin en allant au pain. La boulangère est tellement affolée qu’elle le dit à tous les clients. La police a été informée dès samedi.
– Mais maman, j’étais avec elle vendredi soir…
– Ah, c’était toi ? C’est ce que la boulangère disait : “Elle est sortie vendredi soir peu avant huit heures avec un ami faire un tour, comme elle faisait souvent le soir, mais elle rentrait toujours à peu près à la même heure, vers neuf ou dix heures, même si André râlait, car elle revenait alors évidemment toujours après le dîner.”
– Maman, hurlai-je, je te dis que j’étais avec elle vendredi soir, je l’ai quittée quand elle repartait chez elle, tandis que je remontais ici. Je dois aller voir tout de suite la boulangère. Je veux avoir plus d’informations, tu te rends compte de ce qui arrive ? »
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean Laurent est né le 22 juillet 1933 à Saint Germain-en-Laye. Ingénieur de formation, il effectua sa carrière dans la recherche pétrolière, la géothermie et la recherche de l'eau par puits et forages où il terminera comme P.D.G. Il fut aussi élu conseiller municipal d'opposition dans sa ville natale de 1989 à 2008. Il a publié entre autres son autobiographie à la demande d'un de ses petits-fils, sous le titre : Je dirai malgré tout que cette vie fut belle.