Bernanos Georges – Un Crime : Une vallée alpine encaissée, rude, avec, en haut, un village. Le temps est à la pluie, il fait froid. La nuit est tombée. Au presbytère la servante, Mademoiselle Céleste, attend le nouveau curé qui n’est pas arrivé, l’après-midi, avec la patache. Finalement, au milieu de la nuit, transi et à pied, le jeune prêtre arrive au presbytère. Il est sans expérience et paraît trop sensible pour la rudesse du pays. Il touche Mademoiselle Céleste par son innocence, sa fragilité, ses traits délicats et son caractère intense. Elle lui accorde d’emblée sa confiance. Mais plus tard dans la nuit des cris parviennent au nouveau curé. La battue, organisée à la hâte, permet de trouver un vagabond. Il aurait tué la châtelaine et git, mort. Que s’est-il passé ?
Ce roman policier n’a rien à envier à ceux du 21e siècle. « C’est une intrigue époustouflante qu’a construite Georges Bernanos. Le lecteur est tenu en haleine jusqu’à la dernière page du livre. Il y a bien un assassin à débusquer et c’est d’ailleurs lui qui nous révèle le fin mot de l’histoire. Je dois reconnaître avoir dû relire le dernier chapitre pour assembler les pièces du puzzle. La fin choisie par l’auteur est totalement surprenante et originale. Et pourtant Bernanos sème des petits cailloux tout le long du récit, nous donne des indices. Le livre terminé, j’ai relu de nombreux passages pour me rendre compte à quel point Bernanos m’avait roulée dans la farine ! L’auteur nous offre une belle énigme à résoudre, il ne bâcle pas sa révélation finale. On sent à travers cela toute l’exigence et la qualité d’un grand écrivain. Un crime est non seulement un bon Bernanos mais également un grand roman noir. Je me suis régalée avec cette intrigue complexe et le style fabuleux de Georges Bernanos. »
Ce roman policier n’a rien à envier à ceux du 21e siècle. « C’est une intrigue époustouflante qu’a construite Georges Bernanos. Le lecteur est tenu en haleine jusqu’à la dernière page du livre. Il y a bien un assassin à débusquer et c’est d’ailleurs lui qui nous révèle le fin mot de l’histoire. Je dois reconnaître avoir dû relire le dernier chapitre pour assembler les pièces du puzzle. La fin choisie par l’auteur est totalement surprenante et originale. Et pourtant Bernanos sème des petits cailloux tout le long du récit, nous donne des indices. Le livre terminé, j’ai relu de nombreux passages pour me rendre compte à quel point Bernanos m’avait roulée dans la farine ! L’auteur nous offre une belle énigme à résoudre, il ne bâcle pas sa révélation finale. On sent à travers cela toute l’exigence et la qualité d’un grand écrivain. Un crime est non seulement un bon Bernanos mais également un grand roman noir. Je me suis régalée avec cette intrigue complexe et le style fabuleux de Georges Bernanos. »