Une rencontre amoureuse ne ferait pas l'affaire. Elle allait faire une rencontre avantageuse... un mariage de prestige !
À l'âge de dix-neuf ans, lady Dorothea Rowlandson est presque considérée comme une vieille fille. Si elle n'avait pas été frappée par le décès prématuré de son père, le comte, quelques semaines avant la saison de l'année précédente, elle serait sans doute aujourd'hui une femme mariée, l'épouse estimée d'un illustre pair. Face à ce regrettable contretemps, il lui faut impérativement agir vite si elle veut assurer son propre avenir et celui de ses surs.
Miles Shaw est propriétaire d'un domaine criblé de dettes. Il est donc tout à fait logique qu'il démarre la saison londonienne en quête d'une épouse fortunée. En vertu de son code d'honneur personnel, il doit se montrer franc quant à cet objectif, afin de ne duper personne. Et comme il entend bien aimer et chérir la femme qu'il aura choisie, il apportera tout naturellement à cette union autant qu'il recevra. Après tout, c'est un gentleman, propriétaire terrien, qui ne manque pas de charme.
Le hasard pousse Miles et Dorothea à partager la première danse du premier bal de la saison, preuve de l'humeur badine de la Déesse de la Fortune. Il est tout simplement absurde de créer un lien aussi inadéquat. Car, que pourraient bien avoir en commun la fille d'un pair du royaume et un gentleman sans envergure et aux poches vides ?
À l'âge de dix-neuf ans, lady Dorothea Rowlandson est presque considérée comme une vieille fille. Si elle n'avait pas été frappée par le décès prématuré de son père, le comte, quelques semaines avant la saison de l'année précédente, elle serait sans doute aujourd'hui une femme mariée, l'épouse estimée d'un illustre pair. Face à ce regrettable contretemps, il lui faut impérativement agir vite si elle veut assurer son propre avenir et celui de ses surs.
Miles Shaw est propriétaire d'un domaine criblé de dettes. Il est donc tout à fait logique qu'il démarre la saison londonienne en quête d'une épouse fortunée. En vertu de son code d'honneur personnel, il doit se montrer franc quant à cet objectif, afin de ne duper personne. Et comme il entend bien aimer et chérir la femme qu'il aura choisie, il apportera tout naturellement à cette union autant qu'il recevra. Après tout, c'est un gentleman, propriétaire terrien, qui ne manque pas de charme.
Le hasard pousse Miles et Dorothea à partager la première danse du premier bal de la saison, preuve de l'humeur badine de la Déesse de la Fortune. Il est tout simplement absurde de créer un lien aussi inadéquat. Car, que pourraient bien avoir en commun la fille d'un pair du royaume et un gentleman sans envergure et aux poches vides ?
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