Philippe d’Orléans, régent de France, a bien du fil à retordre avec ses deux filles, trop libertines, et avec son fils, trop sage. Mais voici qu’il veut s’occuper d’une autre fille, illégitime et cachée celle-là, Hélène de Chaverny. Il la fait venir du couvent où il l’a fait élever, à Clisson près de Nantes.
Hélène, qui ignore sa filiation, est amoureuse de Gaston de Chanlay, qui lui rend visite en secret. Le chevalier Gaston de Chanlay est mêlé à une conspiration contre le régent, et a accepté de ses complices bretons la mission de l’assassiner.
Hélène et Gaston font donc route ensemble vers Paris, sans soupçonner l’enchevêtrement dramatique qui se joue autour d’eux. Dubois, ministre sinistre par son cynisme, les fait espionner tout au long de cette route.
Chanlay doit rencontrer à Paris le capitaine La Jonquière, qui doit le conduire au duc d’Olivarès, lequel devra l’aider dans sa mission. Le complot a pour but d’éliminer le Régent, de supprimer ensuite le jeune Louis XV si nécessaire, et d’annexer la France à l’Espagne, où règne Philippe V, petit-fils de Louis XIV et oncle de Louis XV. Les Bretons, mécontents du régime, se sont faits l’instrument du complot.
Dubois, qui a découvert le complot grâce à sa police secrète, veut exploiter la situation à fond, profitant de la candeur du chevalier de Chanlay. Il entraîne le Régent dans un jeu de rôles où celui-ci se fait passer auprès de Gaston pour le duc d’Olivarès, et Dubois lui-même pour le capitaine La Jonquière. Gaston, tout imprégné de valeurs d’honneur et de loyauté, s’y laisse prendre et leur dévoile toute la conspiration.
Mais le Régent se prend d’estime, voire d’admiration pour son assassin désigné, et veut protéger de Dubois ce jeune homme aimé de sa fille. Dubois fait embastiller Chanlay, le fait parler encore, puis le fait évader. Au moment où il s’apprête à tuer le Régent, Chanlay découvre qu’il a été joué depuis le début; le débonnaire Philippe le gracie pour le marier à sa fille, et Gaston, qui veut sauver ses amis et complices, obtient de lui leur grâce. Mais le féroce Dubois, plus rapide, les fait exécuter à Nantes, où Gaston arrive juste à temps pour partager leur terrible sort. Hélène repart au couvent de Clisson, où elle mourra de chagrin un an plus tard.
Hélène, qui ignore sa filiation, est amoureuse de Gaston de Chanlay, qui lui rend visite en secret. Le chevalier Gaston de Chanlay est mêlé à une conspiration contre le régent, et a accepté de ses complices bretons la mission de l’assassiner.
Hélène et Gaston font donc route ensemble vers Paris, sans soupçonner l’enchevêtrement dramatique qui se joue autour d’eux. Dubois, ministre sinistre par son cynisme, les fait espionner tout au long de cette route.
Chanlay doit rencontrer à Paris le capitaine La Jonquière, qui doit le conduire au duc d’Olivarès, lequel devra l’aider dans sa mission. Le complot a pour but d’éliminer le Régent, de supprimer ensuite le jeune Louis XV si nécessaire, et d’annexer la France à l’Espagne, où règne Philippe V, petit-fils de Louis XIV et oncle de Louis XV. Les Bretons, mécontents du régime, se sont faits l’instrument du complot.
Dubois, qui a découvert le complot grâce à sa police secrète, veut exploiter la situation à fond, profitant de la candeur du chevalier de Chanlay. Il entraîne le Régent dans un jeu de rôles où celui-ci se fait passer auprès de Gaston pour le duc d’Olivarès, et Dubois lui-même pour le capitaine La Jonquière. Gaston, tout imprégné de valeurs d’honneur et de loyauté, s’y laisse prendre et leur dévoile toute la conspiration.
Mais le Régent se prend d’estime, voire d’admiration pour son assassin désigné, et veut protéger de Dubois ce jeune homme aimé de sa fille. Dubois fait embastiller Chanlay, le fait parler encore, puis le fait évader. Au moment où il s’apprête à tuer le Régent, Chanlay découvre qu’il a été joué depuis le début; le débonnaire Philippe le gracie pour le marier à sa fille, et Gaston, qui veut sauver ses amis et complices, obtient de lui leur grâce. Mais le féroce Dubois, plus rapide, les fait exécuter à Nantes, où Gaston arrive juste à temps pour partager leur terrible sort. Hélène repart au couvent de Clisson, où elle mourra de chagrin un an plus tard.