Lors de la Conférence ministérielle « Processus de Barcelone : Union pour la Méditerranée », qui s'est tenue à Marseille les 3 et 4 novembre 2008, les ministres des Affaires étrangères des 43 pays ont affirmé la nécessité de mieux promouvoir les investissements en étudiant « les possibilités d'améliorer les procédures d'arbitrages dans la région (..) par exemple en créant une cour d'arbitrage méditerranéenne ». Est-ce là une piste de travail pour le législateur méditerranéen ? N'est-ce pas le simple chant des sirènes auquel il devra résister ? Quelle que soit la réponse, l'arbitrage a-t-il encore des vertus qui permettent au législateur méditerranéen d'asseoir une lex mediterranea de qui servira elle-même de modèle à d'autres intégrations régionales ? Cet ouvrage est issu d'un colloque international organisé à Tunis, les 11 et 12 avril 2014, par la Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales de Tunis (Unité de recherche « Relations internationales privées : commerce, arbitrage et migration ») ; le Centre de recherches juridiques de l'Université de Franche-Comté (CRJFC-EA 3225) ; le Centre de recherche sur le droit des marchés et des investissements internationaux (CREDIMI, UMR CNRS n°6295, Université de Bourgogne). En partenariat avec l'Université Jean Moulin-Lyon III (AEDN) ; l'Université d'Oran (Algérie) ; l'Université Hassan 1er de Settat (Maroc) ; l'Université du Québec -Canada- ; l'Université Kemerburgaz d'Istanbul (Turquie) et l'Université Ca'Focari de Venise (Italie).
Il bénéficie du soutien financier de la Fondation Hanns Seidel au Maghreb.
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