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L'affaire Mario Costeja vs Google Spain du 13 mai 2014 de la CJUE a relancé les débats doctrinaux sur le " droit à l'oubli numérique " à l'échelle internationale. Au lendemain de cette affaire, plusieurs critiques ont été émises, et d'innombrables questions posées. Il est donc intéressant de revoir l'essence même du droit à l'oubli et, encore plus, à travers le prisme des nouvelles technologies de l'information et de la communication. Avec l'affaire Mario Costeja, il est nécessaire d'identifier la prérogative consacrée : est-elle vraiment le reflet du droit à l'oubli numérique tel qu'il est…mehr

Produktbeschreibung
L'affaire Mario Costeja vs Google Spain du 13 mai 2014 de la CJUE a relancé les débats doctrinaux sur le " droit à l'oubli numérique " à l'échelle internationale. Au lendemain de cette affaire, plusieurs critiques ont été émises, et d'innombrables questions posées. Il est donc intéressant de revoir l'essence même du droit à l'oubli et, encore plus, à travers le prisme des nouvelles technologies de l'information et de la communication. Avec l'affaire Mario Costeja, il est nécessaire d'identifier la prérogative consacrée : est-elle vraiment le reflet du droit à l'oubli numérique tel qu'il est souhaité ou est-ce un simple élément d'un ensemble de droits qui composeraient le " droit à l'oubli numérique ", utopique et aujourd'hui inexistant ? Cet ouvrage offre un panorama entre les Etats-Unis, pays des géants de l'internet, collecteurs de données personnelles et créateurs d'algorithmes et la France, le pays des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Deux pays que tout semble opposer : leurs histoires, leurs visions et leurs systèmes juridiques. Et le traitement de ce débat sur le " droit à l'oubli numérique " en est une illustration idoine.
Autorenporträt
Anthony ABUD QUÉLIZ est avocat en République dominicaine. Il a obtenu sa licence en droit à la Pontificia Universidad Católica Madre y Maestra et a poursuivi ses études en master dans les universités Panthéon-Assas et Panthéon-Sorbonne. Son séjour de recherche à Harvard Law School a renforcé la dimension comparée de cet ouvrage.