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L'acroléine est un aldéhyde extrêmement réactif et un polluant environnemental qui a été impliqué comme un facteur de risque de développer plusieurs maladies respiratoires et neurodégénératives ainsi que l'athérosclérose. Elle est utilisée comme herbicide et elle est générée par la fumée de cigarette, la cuisson d'huile, le métabolisme de certains agents anticancéreux, lors de la péroxydation des lipides et après exposition aux rayons UV. Ainsi, à cause de l'impact important de l'acroléine sur la santé humaine, nous avons entrepris cette étude afin de déterminer, et ce pour la première fois,…mehr

Produktbeschreibung
L'acroléine est un aldéhyde extrêmement réactif et un polluant environnemental qui a été impliqué comme un facteur de risque de développer plusieurs maladies respiratoires et neurodégénératives ainsi que l'athérosclérose. Elle est utilisée comme herbicide et elle est générée par la fumée de cigarette, la cuisson d'huile, le métabolisme de certains agents anticancéreux, lors de la péroxydation des lipides et après exposition aux rayons UV. Ainsi, à cause de l'impact important de l'acroléine sur la santé humaine, nous avons entrepris cette étude afin de déterminer, et ce pour la première fois, les mécanismes moléculaires impliqués dans la mort cellulaire induite par cet aldéhyde. On a démontré en utilisant des cellules à potentiel tumoral provenant des ovaires du hamster chinois que l'acroléine à faible dose induisait la mort cellulaire par apoptose et ceci par la voie mitochondriale et par la voie du récepteur Fas. A plus forte dose, l'acroléine tue les cellules par nécrose. Cette toxicité de l'acroléine est inhibée par l'ajout du glutathion. Ce projet a fait la publication de 4 articles dans de prestigieux journaux.
Autorenporträt
André Tanel, docteur en biochimie, induction de la mort cellulaire dans les tumeurs, à l'UQAM. Présentement au centre de recherche du centre hospitalier de l'université de montréal sous la supervision du professeur Sekaly sur le mécanisme moléculaire impliqué dans la mort des cellules CD4 et CD8 chez les patients infectés par le VIH.