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SMS, trois lettres qui font parler d'elles. En effet, les "Short Message Service" sont ces petites messages qu'un milliard de personnes envoient par jour. Ce sont les jeunes adolescents de 14 à 20 ans qui sont les plus adeptes, au point qu'une étudiante a rendu toute une dissertation écrite en langage SMS à son professeur. De ce phénomène explosif, émane un réel débat: celui de l'impact de cette écriture rétrécie et ne répondant à aucune norme sur l'orthographe. Nous nous sommes intéressés à la population la plus concernée: les jeunes de 14-15 ans. Après les avoir répartis en groupe selon la…mehr

Produktbeschreibung
SMS, trois lettres qui font parler d'elles. En effet, les "Short Message Service" sont ces petites messages qu'un milliard de personnes envoient par jour. Ce sont les jeunes adolescents de 14 à 20 ans qui sont les plus adeptes, au point qu'une étudiante a rendu toute une dissertation écrite en langage SMS à son professeur. De ce phénomène explosif, émane un réel débat: celui de l'impact de cette écriture rétrécie et ne répondant à aucune norme sur l'orthographe. Nous nous sommes intéressés à la population la plus concernée: les jeunes de 14-15 ans. Après les avoir répartis en groupe selon la fréquence d'envoie de SMS, nous les avons soumis à diverses épreuves d'orthographe, aux modalités variées telles que des dictées de mots, de phrases, de textes mais aussi des épreuves plus proches de leur réalité telles que des productions écrites, des jeux de traduction SMS/français et inversement, ainsi que des prises de notes. L'hypothèse posée est la suivante : existe t'il un impact de l'utilisation intensive des SMS sur l'orthographe ? Et existe t'il une différence selon le type d'enseignement, technique ou général, que le sujet fréquente ? Nous y apportons quelques réponses...
Autorenporträt
Diplômée d'un master en Logopédie-Orthophonie (2007), d'un Master en Psychologie et en Neuropsychologie (2009), à l'université de Liège et détentrice d'un certificat inter-universitaire de psychothérapie intégrative (3ème cycle universitaire, 2012), travaillant en cabinet privé avec des enfants et des adolescents, Liège, Belgique.