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La perte de fertilité et la dérive des sols agricoles est un problème majeur au sud tunisien. La pratique traditionnelle basée sur l'utilisation de matières organiques (fumiers, compost...) pour fertiliser les terres agricoles, n'est plus une solution efficace à cause des ses effets écologiques et économiques néfastes sur la production agricole. Ce travail propose une technologie innovante pour redresser et entretenir la fertilité des sols agricoles à partir de déchets des oasis constitués des branches vertes préalablement broyés, qui s'appelle le Bois Raméal Fragmenté (BRF).Notre étude a…mehr

Produktbeschreibung
La perte de fertilité et la dérive des sols agricoles est un problème majeur au sud tunisien. La pratique traditionnelle basée sur l'utilisation de matières organiques (fumiers, compost...) pour fertiliser les terres agricoles, n'est plus une solution efficace à cause des ses effets écologiques et économiques néfastes sur la production agricole. Ce travail propose une technologie innovante pour redresser et entretenir la fertilité des sols agricoles à partir de déchets des oasis constitués des branches vertes préalablement broyés, qui s'appelle le Bois Raméal Fragmenté (BRF).Notre étude a porté sur l'épandage d'un apport de BRF. Le suivi de l'évolution des ses paramètres physicochimiques (la température, l'humidité, la densité, la conductivité électrique, le pH, la teneur en carbone, azote, rapport C/N et la teneur en matière organique) et microbiologiques (dénombrement des microorganismes (bactéries, champignons, actinomycètes)) révèle que le dépôt de BRF permet la valorisation d'un sous-produit de l'activité de taille, une meilleure rétention de l'eau et l'installation d'une population fongique pionnière favorable à la structuration des sols.
Autorenporträt
Zougari Boutheina est assistante de l¿enseignement supérieur Agricole. Elle a obtenu un diplôme d¿ingénieur agronome en 2001, un diplôme de master en 2004 et un diplôme de doctorat en 2014. Elle a enseigné à la Faculté des sciences de Gafsa. Actuellement elle travaille comme chercheuse au centre régional de recherche en agriculture oasienne.