51,99 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in über 4 Wochen
  • Broschiertes Buch

Depuis quelques années, les opérations de prises de contrôle suivent une progression exponentielle. D'après Thomson Reuters, au premier trimestre 2011, la valeur mondiale des opérations de rachat a atteint 799,8 milliards de dollars. Les motivations de ces opérations étant nombreuses (les synergies économiques, l'opportunité d'investissement, l'orgueil, les bénéfices privés, ...), comment s'articule la motivation principale avec la stratégie optimale du repreneur ? Les dotations initiales constituant l'une des particularités de ces opérations, comment ces dotations influencent-elles les…mehr

Produktbeschreibung
Depuis quelques années, les opérations de prises de contrôle suivent une progression exponentielle. D'après Thomson Reuters, au premier trimestre 2011, la valeur mondiale des opérations de rachat a atteint 799,8 milliards de dollars. Les motivations de ces opérations étant nombreuses (les synergies économiques, l'opportunité d'investissement, l'orgueil, les bénéfices privés, ...), comment s'articule la motivation principale avec la stratégie optimale du repreneur ? Les dotations initiales constituant l'une des particularités de ces opérations, comment ces dotations influencent-elles les stratégies des repreneurs et les résultats du contrôle ? Après une synthèse de littérature sur les principaux résultats, nous complétons l'analyse par trois contributions : l'analyse de l'impact de l'aversion au risque sur les stratégies des repreneurs, l'analyse de l'impact des coûts de participation sur l'allocation de la firme cible et l'analyse des stratégies optimales des repreneurs dans le cadre des motivations mixtes.
Autorenporträt
est qualifié au poste de Maître de Conférences à l¿Université et est chercheur affilié au Centre de Recherches sur les Stratégies Economiques (CRESE). Ses centres d¿intérêt incluent l¿économie industrielle, la théorie des jeux, la stratégie des organisations, la responsabilité sociale de l¿entreprise et la microfinance.